châteaux de France
       Accueil        châteaux Val de Loire        châteaux pour réceptions        châteaux à l'abandon        Contact        Liens
 
 
 
Château de Buzareingues à Buzeins
 
 

   A mi-côte de cette ligne de collines qui, épaulant le haut plateau du Causse de Campagnac, sépare la vallée de l’Aveyron de celle de la Serre, abrité par une abrupte pente rocheuse, tapissée de pins sylvestres poussés dans les interstices de la roche calcaire effleurant partout, juste à l’origine d’une gorge dévalant vers Cornuéjouls et la vallée de l’Aveyron, s’élève le château de Buzareingues. Construit sur le même plan, mais sur de plus grandes proportions que le château voisin de Recoules, Buzareingues comprenait à la fin du XVIIIe siècle quatre corps de logis entourant une cour intérieure; quatre tours, toutes différentes, flanquaient ce quadrilatère: à l’angle sud-ouest, une mince tour carrée, à l’angle nord-ouest une tour ronde, toutes deux encore existantes, mais décapitées; une forte tour carrée haute de sept étages, véritable donjon impitoyablement rasé à hauteur du bâtiment voisin aux premiers jours de la Révolution, défendait l’angle nord-est tandis qu’une grosse tour ronde moins élevée que le donjon occupait l’angle sud-est, cette dernière entièrement démolie lors de la construction de la grande bergerie. Seule la façade au couchant a conservé son aspect primitif: dans l’encadrement des deux tours, elle se présente froide et sévère, percée seulement au premier étage d’une fenêtre garnie de sa croix de pierre et de deux étroites fenêtres coupées d’un seul meneau, toutes trois encore fortement grillées; au rez-de-chaussée, d’étroites ouvertures irrégulièrement disposées et une grande porte pratiquée bien postérieurement. A l’exposition du nord, le bâtiment ne présentait que quelques rares et étroites ouvertures grillées; on y distingue nettement encadrés dans le mur de hauts et larges arceaux de pierre en plein cintre, murés, destinés semble-t-il à soutenir une galerie crénelée. La façade au levant a subi de tels remaniements que son contraste avec les parties déjà décrites, frappe profondément. Surélevée d’un second étage, percée de fenêtres sans style et garnies de volets, couverte d’un enduit, elle présente un aspect moderne. Une porte à plein cintre ouvrant sur un passage voûté, donne accès dans la cour, rétrécie par une construction plaquée sur l'aile sud, également surélevée, renfermant aujourd'hui une grande galerie à laquelle on accède par l'ancien et large escalier de pierre, curieux par ses voûtes extrêmement basses, ouvrant sur une porte basse aussi surmontée d’un écusson portant: trois croissants posés 2 et 1, qui paraît être celui de la famille d’Alichoux.
Dans cette galerie, d'intéressantes collections et une profusion de tableaux, quelques-uns remarquables, qu'on retrouve du reste dans toutes les pièces de réception. Cette aile sud a été étrangement masquée par un vaste bâtiment construit au commencement du siècle dernier par Monsieur Charles Girou de Buzareingues parallèlement à elle et à une distance de deux mètres à peine, enlevant à cette partie du château de Buzareingues la vue, la lumière et le soleil. Cette partie renfermait cependant la grande salle gardant encore son haut plafond à poutrelles, mais aujourd'hui divisée et d’où autrefois, paraît-il, un large perron de pierre permettait de gagner les jardins. Cette construction si mal placée, très large et haute de deux étages, actuellement transformée en habitation, abritait autrefois une jumenterie arabe et un troupeau mérinos installé à Buzareingues dans les premières années du XIXe siècle. Du vieux donjon subsiste seulement trois étages, dont l'un garde encore une jolie fenêtre à meneau et à l’intérieur une intéressante cheminée de pierre. Des défenses extérieures du château, rien ne subsistait à la veille de cette totale et peu heureuse transformation; devenues sans objet au cours des siècles de tranquillité, elles avaient été totalement sacrifiées.
Dès le XIVe siècle Buzareingues appartenait à la maison d’Hérail, mais cette terre n’était alors ni le siège d’une baronnie, pas même le siège d’une seigneurie, mais un simple fief dépendant de Sévérac et ne possédant aucun des droits qui constituaient la qualité fondamentale du fief noble ou seigneurie. Divers actes conservés aux archives départementales de l'Aveyron l’établissent clairement. Le plus ancien porte la date du 8 octobre 1359; il contient une ordonnance du châtelain et du bailli de Sévérac ordonnant, sous peine de 100 marcs d'argent, à Déodat Hérail, chevalier, de démolir les fortifications faites récemment à sa maison de Buzareingues, lieu dépendant de la baronnie de Sévérac: les termes de l’ordonnance sont pimpérieux: "Ut fortalicia privata de novo in ejus hospitio facta et constructa dirimat et ad statum primum reducat seu reduci faciat infra quinque dies proxime et immédiate secuturos". Cette sentence rendue après enquête justifie que le château avait été construit deux ans plus tôt en 1357: les témoins entendus au nombre d’une douzaine déclarent unanimement que ce lieu fortifié ne peut nuire en rien aux barons de Sévérac "sauf en cas de guerre". On retrouve là l’esprit ombrageux des Sévérac vis-à-vis de leurs nobles voisins et vassaux qui se montra si obstinément plus tard à l’égard des seigneurs de Loupiac. Par une donation du 21 novembre 1366 soit presque exactement sept ans après, Guy, seigneur du château et de la baronnie de Sévérac, chevalier, pour reconnaître les bons services qu'il a reçus et qu’il espère recevoir de noble Déodat Hérail, chevalier, du lieu de Buzareingues, donne à ce dernier la basse et moyenne justice sur le lieu de Buzareingues qui confronte avec les terres de Buzeins, les terres de Cornuéjouls, les mas de Montels et de Tantayrou et la baillie de La Roque-Valzergues.
Guy de Sévérac se réserve le "merum imperium" et la haute justice avec le ressort en cas d’appel. Vingt-quatre ans plus tard, en février 1390, le même Guy de Sévérac, donne au même Déodat Hérail de semblables droits sur les Mas de Tantayrou et du Bès confrontés dans l’acte et sous les mêmes réserves qu’à l’acte du 21 novembre 1366. Cette donation est suivie le même jour d’un acte d’hommage reçu au château supérieur de Sévérac par lequel Déodat Hérail reconnaît tenir de Guy de Sévérac en fief franc, noble, libre, et honoré, le mas de Cornuéjouls, sauf le ressort en cas d’appel, les mas de Buzareingues, du Tantayrou et du Bès, et en général tout ce qu’il possède dans la baronnie de Sévérac comme "fortalicia, turrim, hospitia castellata, census, usatica" etc.. Du rapprochement de ces documents il ressortirait clairement que Déodat Hérail fut le créateur de la seigneurie de Buzareingues dont, grâce à la bienveillante générosité du seigneur suzerain, bienveillance gagnée par d'éclatants services, il réunit les différents membres, ajoutant aux droits utiles qu’il possédait déjà, les droits honorifiques et seigneuriaux et aussi le constructeur du château, car quelles qu'aient été les suites de l’ordonnance de 1359 l’existence du château à cette époque est prouvée par l’acte d’hommage lui-même puisque les "forteresses, tours" y sont nettement désignées et hommagées. Les Hérail furent donc les créateurs de la seigneurie de Buzareingues et les constructeurs du château où résida jusqu’au XVIe siècle une branche issue de Georges d’Hérail, probablement fils de Déodat 1er, seigneur de Lugans et de Buzareingues, marié à noble Hélix de Jalès, dame des Faux et d’Escaloppe, qui étant veuve donna en 1406 "devant la porte du fort de Buzareingues", procuration à Raymond Corier, notaire de Luxam, paroisse de la Fage-Monthivernous, pour recevoir divers lauzimes.
Georges Hérail faisait partie des hommes d’armes rassemblés à Rodez le 3 janvier 1386 par le comte d'Armagnac pour marcher contre les Anglais. Leur fils Louis d’Hérail seigneur de Buzareingues possédait également la seigneurie d'Agen près Rodez. Guy d’Hérail, seigneur de Buzareingues, fils de Louis, épousa Louise de Peyrebesse et fut père de Louis II d’Hérail, qualifié seigneur de Peyrebesse du vivant de son père et qui épousa successivement en 1476 Françoise de Saunhac, fille de Jean, seigneur de Belcastel, et en 1495 Blanche de la Panouse, fille de Jean, seigneur de Loupiac, Cruéjouls, etc. Les d’Hérail conservèrent Buzareingues jusqu’aux premières années du XVIIe siècle, mais deux alliances successives, particulièrement brillantes, devaient fatalement, en plaçant ailleurs et au loin les possessions principales des seigneurs de Buzareingues, les détacher de leur résidence patrimoniale: la première fut le mariage contracté le 25 novembre 1508 par Pierre d’Hérail, seigneur de Buzareingues, fils de Louis II, avec Anne de Pierre, fille aînée et principale héritière de Jean de Pierre, baron de Pierrefort-Ganges, avec la condition formelle que les enfants issus de ce mariage porteraient le nom et les armes de Pierrefort. La seconde fut l'union de René d’Hérail de Pierrefort en l’année 1543 avec Jeanne de Solignac de la Roue, dame de la Roue, Saint-Anthelme, la Chaux, Nusson, et autres lieux en Auvergne, sœur et héritière de Jacques de la Roue, chevalier de l’Ordre du Roi, capitaine de 5o hommes d’armes des ordonnances et fille d’Antoine seigneur de la Roue, armé chevalier de la main même du Roi François 1er à la bataille de Marignan, et de Louise de Calvisson. René d’Hérail de Pierrefort s’opposa à la donation qu’avait faite en 1554, Françoise de Pierre, sa tante maternelle, de la baronnie de Ganges à Jean de Béziers, baron de Venejan son mari, et après la mort de Françoise de Pierre, il en recueillit les biens comme substitué aux biens de la maison de Pierrefort. Il aliéna alors la baronnie de Ganges à Balthazar de Saint-Etienne, seigneur de Saint-Martial.
Le fils aîné de René, Gaspard d'Hérail de Pierrefort, comte de la Roue, établi en Auvergne, continua la branche aînée éteinte dans sa petite-fille, Marie-Gabrielle d'Hérail de Pierrefort, comtesse de la Roue mariée en 1670 à un grand seigneur piémontais, Hyacinthe de Saint-Martin d'Aigle, marquis de Revarolles, grand croix de l’Ordre de Saint-Louis, maréchal des camps et des armées du roi, dont la postérité possédait encore au moment de la Révolution le riche patrimoine des Pierrefort et des la Roue. Le cadet, Marc d'Hérail, marié à Françoise de Chalencon, fille du baron de Roche Bacon et de Jacqueline de Levis-Ventadour et père d'une fille unique, Gasparde, mariée à Jacques, baron d’Espenchal, fixé lui aussi en Auvergne, eut pour sa part la seigneurie de Dunières, Buzareingues et Agen. Dans un titre du 14 septembre 1590 il est nommé "haut et puissant seigneur Marc de la Roue, chevalier de l’Ordre du Roi, seigneur et baron de Buzareingues". En 1609 ce même seigneur aliéna la seigneurie de Buzareingues acquise par les Roquelaure, déjà possesseurs du château voisin de Loupiac. Buzareingues devint alors le patrimoine d’Alexandre de Roquelaure, seigneur de la Chassagne, fils naturel reconnu, né avant le mariage, de noble Guion de Roquelaure, seigneur de Roquelaure, Loupiac, Malescombes, Monchausson, chevalier de l'Ordre du Roi et capitaine du château de La Roque-Valzergues. Cet Alexandre de Roquelaure, épousa l'héritière d’une branche cadette et quelque peu obscure des Bessuéjouls, Gabrielle de Bessuéjouls, seigneuresse de Valdraguès, petit fief dans la paroisse de Trédou, fille d’Antoine de Bessuéjouls et de Jeanne de Raynal, seigneuresse de Valdraguès, presque au même moment où le chef de la maison de Bessuéjouls épousait l’héritière de la maison de Roquelaure dont sa postérité relevait le nom et les armes pour se perpétuer sous le nom de Bessuéjouls-Roquelaure. Les Hérail avaient cependant conservé des droits dans la région car nous voyons Balthazar Hérail de Pierrefort de la Roue, premier baron de la Haute-Auvergne, transiger en 1661 avec Claudine de Grégoire de Gardies au sujet de droits seigneuriaux à Cornuéjouls, Tantayrou, etc.
Alexandre de Roquelaure ne laissa que des filles, dont l'aînée son héritière, Marie de Roquelaure, en épousant par contrat passé au château de Loupiac le 8 octobre 1638 un gentilhomme du Languedoc, Michel d’Alichoux, apporta Buzareingues dans cette famille qui le conserva près d’un siècle. Le petit-fils de Michel, Jean-François, un an avant sa mort, survenue le 20 février 1733, vendait le 26 mars 1732 la terre et seigneurie de Buzareingues et celle de Valdraguès à noble Jean-Hilarion de Viguier, seigneur de Grun et de Villevayre. Cet acte de vente reçu par Hérail notaire royal, fournit des détails précis sur la valeur, les charges, les droits de la seigneurie de Buzareingues. Il stipule que la vente comprend l’entière place de Buzareingues en fief franc, noble et honoré, la plus grande partie noble, le reste allodial, censives, champarts, justice, droits honorifiques attachés à la place, rentes et censives sur les villages de Cornuéjouls, Tantayrou et Buzeins, leurs appartenances et dépendances, les rentes sur Sermeilhets et Novis rétant seules réservées, mais y compris "le droit de patronage de la chapellenie de Buzareingues et de celle de la Sainte-Trinité de la Panouse, même la chapelle qui est dans l’église N.-D. de la Panouse et droit de sépulture, le dit droit étant attaché à la place de Buzareingues, avec les ornements, linge, aube et chasubles en l’estât que le tout est présentement destiné pour le service de la chapelle du château de Buzareingues" la dite place, est-il dit, consistant en "un château, tour, granges, escuries, bergeries en ruines, prés, champs, etc." conformément aux hommages visés dans l'arrêt rendu entre les consuls de la Panouse et les auteurs du dit seigneur de Buzareingues, à la cour des Aides de Montauban, séant à la ville de Cahors le 9 juillet 1647. Sont compris dans la vente, tous les meubles et les tableaux "attachés à fer et à clous" au dit château et par exprès tout l'inventaire confié à Pierre Lavabre fermier. L'acquéreur est tenu de payer la rente de 5 setiers froment, 5 setiers seigle et 15 livres argent au chapelain de Buzareingues, 45 livres argent et 5 quartes froment aux prêtres de La Panouse, 18 livres argent aux prêtres de Buzeins. Le prix de cette vente restait fixé à 64.000 livres dont 10.524 livres 10 sols payés comptant; sur cette somme 3.500 livres représentaient le prix de la petite terre et seigneurie de Valdraguès et 4.500 livres le montant de l’inventaire, cabaux et grains.
Par une assignation de mai 1747 une des huit filles du feu seigneur de Buzareingues, Marianne d’Alichoux, mariée à Jacques Pelat, marchand, habitant Saint-Saturnin de Lenne, réclamait au seigneur de Grun ses droits sur le prix de la place de Buzareingues. Par acte du 6 mai 1754 noble Jean Hilarion de Viguier, seigneur de Grun, Villevayre, Valdraguès, etc., chevalier de Saint-Louis, fils de l’acquéreur, vendit la terre et seigneurie de Buzareingues, en retenant la seigneurie de Valdraguès, 67.500 livres à M. Charles-Ignace Girou, bourgeois de Galinières, fermier général des terres de l’abbaye de Bonneval: Galinières, Monbez, la Vayssière, Séveyrac, etc. Cette vente était motivée par le récent achat par le vendeur, de la charge de gouverneur des Pages de la grande Ecurie du Roi. Charles-Ignace Girou, marié à Isabeau Bessière-Bastide fille de Louis Bessière-Bastide ancien garde du Roi habitant de Laissac en 1724, était fils de Jean Girou, bourgeois de Larquet, et de Marie Dijols mariés en 1687. La famille Girou possédait aux XVIIe et XVIIIe siècles un important domaine à Larquet allant des rives de l'Aveyron à Majorac. Charles-Ignace Girou, de concert avec son frère Joseph, avait affermé les biens de l'abbaye de Bonneval et plus tard Lioujas, dépendances de Nonenque, et acquis dans ces fermes une fortune considérable. En 1759 il vendit son domaine de Larquet à Laurens Anglade originaire de Concourès. Il mourut vers 1770 ayant eu sept enfants dont quatre garçons. L’aîné des fils, Charles, né à Larquet en 1726, embrassa l’état ecclésiastique et fut curé du Nayrac, puis prieur-curé de Saint-Martin Loubous, mort en 1788. Alexandre Girou son second fils, né à Larquet en 1728, hérita de Bazareingues, épousa Catherine Séguret de Saint-Geniez et eut trois enfants dont Louis-François-Charles, marié en 1799 à demoiselle Rose Blanc, fille du fermier des Bourmes.
La famille Girou, qui, conformément à la coutume et au droit des possesseurs de fiefs nobles avant la Révolution, a ajouté à son nom patronymique celui de Buzareingues. Installé en 1798 sur ce domaine et à peine âgé de 25 ans, M. Charles Girou, fils aîné d’Alexandre Girou, se consacra résolument au progrès agricole, transformant son vaste et ingrat domaine en une ferme modèle où il tenta l’acclimatation des races les plus recherchées. Le premier il introduisit en Rouergue les moutons mérinos, les vaches suisses, même les vaches asiatiques sans cornes et aussi le premier étalon arabe qui ait paru dans l’Aveyron "l’Eclair" acheté aux héritiers du général d'Estaing. Un rapport en 1807, nous donne une idée de ce qu’était déjà à cette époque le haras de Buzareingues. "Le sieur Girou de Buzareingues avait créé dans ses propriétés une belle race de chevaux, quelques années avant que le gouvernement eut formé à Rodez un dépôt d’étalons. Il faudrait aller bien loin pour trouver le même zèle, la même constance, le même talent d’observation, les mêmes ressources et les mêmes facilités à faire des sacrifices pour embellir et augmenter ses écuries. Son haras est composé de 20 femelles de tout âge, dont une seule n’a point de sang arabe dans les veines. Bien que l’élevage eût toute les sympathies du propriétaire de Buzareingues, malgré les déboires parfois récoltés, il ne négligea aucune branche de l’économie rurale comme l’attestent les nombreux mémoires publiés pendant sa longue carrière". En 1856 M. Charles Girou de Buzareingues s’éteignait doucement à l’âge de 84 ans. Ces pages étaient déjà écrites quand une suite d’acquisitions faites en 1923 ont permis à M. Henry Bédel, par son mariage avec Mademoiselle Marie Girou de Buzareingues, propriétaire actuel de Buzareingues, de reconstituer en ses mains l’entière terre de Buzareingues et d’entreprendre dans la vieille demeure, unifiée à nouveau, les réparations nécessaires pour lui rendre, dans la mesure du possible, son ancien caractère. (1)

château de Buzareingues 12150 Buzeins, propriété privée, ne se visite pas, visible de l'extérieur. Nous remercions chaleureusement le propriétaire pour l'accueil qu'il nous a réservé lors de notre passage.

Ce site recense tous les châteaux de France, si vous possédez des documents concernant ce château (architecture, historique, photos) ou si vous constatez une erreur, contactez nous. Licence photo©webmaster B-E, photos ci-dessous interdites à la publication sur internet, pour un autre usage nous demander.
A voir sur cette page "châteaux de l'Aveyron" tous les châteaux répertoriés à ce jour dans ce département.

 
 
 
 

chateau de Buzareingues à Buzeins

chateau de Buzareingues à Buzeins

 chateau de Buzareingues à Buzeins
 
chateau de Buzareingues à Buzeins chateau de Buzareingues à Buzeins chateau de BuzareinguesBuzeins  
 
 
 


(1) Les châteaux de l'ancien Rouergue par le marquis Pierre-Christian d'Yzarn-Freissinet de Valady (1868-1935). Imprimerie de P. Carrère, Rodez (1927)

Sur ce site, tous les châteaux, châteaux forts, manoirs, maisons-fortes, ruines et vestiges importants, chateau hôtel-restaurant, chateaux avec chambres d'hôtes, gîtes, et les châteaux avec salles pour réceptions, vous trouverez la liste de tous les départements en page d'Accueil, mais également une page réservée aux châteaux à l'abandon, en péril, et les châteaux du val de Loire nous avons recensés aussi les châteaux dans les pays francophones, Suisse, Belgique et Grand Duché du Luxembourg voir châteaux Étrangers, et également les châteaux dans des bourgs classés parmi les plus beaux villages de France.

 
 
(IMH) = château inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, (MH) = château classé Monument Historique
Nos sources proviennent à 60% de la base Mérimée, culture.gouv.fr/culture/inventaire/patrimoine, que nous remercions vivement
 
Copyright ©chateauxdefrance@orange.fr     Tous droits réservés.