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Château de Noaillan (Gironde)
 
 

      La seigneurie de Noaillan est une des plus anciennes du Bordelais, et les seigneurs qui la possédaient en prenaient le nom dès le commencement du XIIIe siècle et probablement avant. Le premier de ces seigneurs qui nous soit connu s'appelait Amanieu de Noaillan, chevalier; il est nommé dans un titre du 2 mars 1225. On le trouve au nombre des seigneurs qui se réunirent dans le château de Bordeaux, en 1236, pour remédier aux exactions des baillis du roi d'Angleterre dans l'Entre-deux-Mers. Cela prouve qu'il était en grande considération, et que, sans nul doute, la seigneurie de Noaillan était déjà fort ancienne. Il assista à la bataille de Taillebourg, puisque, le 3 mai 1242, Henri III lui écrivit de se trouver à Pons avec cinq chevaliers, le jeudi après la Pentecôte. Le 28 août de la même année, il jura, en compagnie de plusieurs autres seigneurs gascons, de maintenir un traité passé à Bordeaux entre le roi d'Angleterre et Raymond, comte de Toulouse. Le 25 septembre suivant, le roi étant à Bordeaux lui écrivit encore de venir à Sainte-Bazeille, dans l'octave de l'Exaltation de la Sainte-Croix, de se bien munir d'armes et de chevaux, et d'amener avec lui tous les hommes d'élite qu'il pourra se procurer. Henri III ajoutait qu'il se chargeait de leur solde. Amanieu de Noaillan n'obéit probablement pas à cet ordre, car il reçut du roi, le 12 novembre, une autre lettre datée de La Réole, le pressant de se rendre dans la même ville, bien muni d'armes et de chevaux, et d'y attendre ses ordres. A la même époque vivait un Guillaume Seguin de Noaillan, qui avait le titre de chevalier; mais il ne devait pas être seigneur de la terre dont il portait le nom. En 1262, le seigneur de Noaillan s'appelait Bertrand; il fit partie de la Cour de Gascogne convoquée, au mois d'avril, dans le préau de l'Archevêché de Bordeaux, à propos d'un procès soulevé entre Marguerite de Turenne, femme de Renaud de Pons et fille d'Hélie Rudel, sire de Bergerac et de Gensac, et le roi d'Angleterre. Le 13 ou 14 décembre 1262, il se porta garant, avec vingt quatre autres seigneurs, d'un traité passé entre Garcias-Arnaud de Navailles et le même monarque.

Le 25 juillet 1262 vivait aussi un Hodo dei Noaillan, qui fut témoin du testament d'Amanieu VI d'Albret. Dans un acte du 10 mars 1273, il est fait mention d'un Pierre de Noaillan, chevalier; c'est probablement lui qui est cité comme fils de Bertrand de Noaillan, et qui, le 19 mars 1274, devait au roi d'Angleterre un quart de chevalier dont un autre quart était du par la dame de Trencaléon, épouse du seigneur Gaillard Colomb, et la moitié qui restait, par Hugues de Castillon. Bertrand vivait encore alors; car, le même jour, il fait hommage à Édouard 1er; il reconnaît être son chevalier, et tenir de lui en fief le château de Noaillan "au devoir d'une lance d'exporle à muance de seigneur, et tout ce qu'il possède dans la paroisse de Salles au devoir d'un autour sor ou soixante sous bordelais". Le même jour, d'autres membres de la famille de Noaillan vinrent aussi faire hommage: Théobald de Noaillan déclara ne rien tenir du roi, que tout ce qu'il avait était des appartenances de la maison de Noaillan. Guillaume de Noaillan, chevalier, déclara tenir du roi ce qu'il possédait dans les paroisses de Saint-Macaire, de Sainte-Florence, de Conques et de Pujols, excepté une dîme à Pujols qu'il tenait de l'archevêque de Bordeaux; il devait au roi un marbotin d'exporle à muance de seigneur, et au duc d'Aquitaine une paire de gants. Il déclare tenir tous ces fiefs en son nom et en celui de Gaillard de Noaiilan son frère. Pour les fiefs en sus, il les tenait du seigneur de Bénauges. A cette époque il y avait à Noaillan un chevalier nommé Arnaud Garcies de Sescars, qui vint aussi faire hommage au roi; il déclara que tout ce qu'il possédait dans la paroisse de Noaillan, il le tenait du seigneur de cette terre et rien du roi, si ce n'est ce qu'il avait dans les paroisses de Saint-Symphorien et d'Uzeste, au devoir d'une paire de gants d'exporle avec le serment de fidélité. C'est en présence du sénéchal de Gascogne qu'il devait faire hommage pour ses fiefs de la paroisse de Saint-Symphorien.

Le 16 novembre 1286, Fortaner de Cazenove, chevalier, reconnut tenir, au nom d'Arnaud de Noaillan, son neveu et pupille, la moitié du château de Freisse, pour lequel il devait prêter serment de fidélité et fournir un demi chevalier. Le 14 juin 1288, un Bernadat de Noaillan paraît comme témoin dans un acte d'hommage fait à Amanieu d'Albret, mari de Rose de Bourg, comme seigneur de Vayres, par W. de Montravel, chevalier, à raison du château de Jabastas, sis en la paroisse d'Izon. Six ans plus tard, le 12 juillet 1294, Édouard 1er écrivit à Bertrand de Noaillan une lettre semblable à celle qu'il adressait à Arnaud de Blanquefort. C'était probablement le petit-fils de Bertrand, dont il a été fait mention plus haut. En 1312, Edouard II sentit le besoin de réveiller le zèle de ses sujets de Gascogne; il écrivit, le 15 avril, à un grand nombre d'entre eux, et entre autres à Amanieu, seigneur de Noailian, qu'il comptait sur sa fidélité, de se tenir prêt avec ses chevaux, ses armes et le plus grand nombre d'hommes qu'il pourrait se procurer, afin d'être prêt à le servir lorsqu'il sera besoin. Au commencement du XIVe siècle, les seigneurs de Noaillan jouissaient du droit de haute justice, puisque, le 19 mai de l'année 1312-13, le roi alloua certaines dépenses pour une enquête faite à l'occasion de ce droit. Il écrivit, le 17 juillet 1315, à Montasin de Noaillan, chevalier, et au seigneur Arnaud II de Noaillan qui fut témoin, le 1er octobre 1316, d'une déclaration faite par Amanieu d'Albret aux feudataires de l'archevêque de Bordeaux. Il était fort probablement seigneur de la terre dont il portait le nom, et reçut de Régine de Goth, petite nièce du pape Clément V, une grande marque de confiance. Cette dame, épouse de Jean, comte d'Armagnac, vicomtesse de Lomagne et d'Auvillars, fit son testament le second des Ides d'août 1325 et institua pour ses légataires universels plusieurs seigneurs, parmi lesquels on remarque Arnaud de Noaillan, chevalier. Le 6 juin 1326, le même honneur lui fut accordé, en compagnie d'Arnaud-Bernard de Preissac, par Rose de Bourg, femme d'Amanieu d'Albret. On trouve aussi, vers la même époque, plusieurs autres seigneurs du nom de Noaillan; ainsi, en 1322, un Amanieu de Noaillan fut convoqué par Édouard II pour la guerre d'Ecosse.

Tout cela ne nous dit pas à qui appartenait le château de Noaillan. Cependant, il paraît qu'alors il n'était plus possédé par la famille de ce nom, puisque, dans une trève entre le roi d'Angleterre et le sire d'Albret, signée le 19 mai 1383, on trouve, parmi les compagnons, serviteurs ou alliés de ce dernier, que Gaillard de La Mote était seigneur de Castelnau-de-Mesmes, de Noaillan, etc. Au début du XVe siècle, cette seigneurie fut enlevée aux La Mote par le roi d'Angleterre, et donnée à des seigneurs sur la fidélité desquels il comptait probablement davantage; ainsi, le 10 juin 1306, Charles de Beaumont en fut gratifié par Henri IV; elle lui fut de nouveau accordée ou la donation lui fut confirmée le 8 février 1415. Le roi Henri V y ajouta d'autres ténements en Bordelais, dans les paroisses de Mérignac, de Bègles et à Veyrines. Enfin, Noaillan, comme toutes les autres grandes seigneuries du Bordelais, fut concédée, le 13 juillet 1429, à Bernard Angevin, l'insatiable favori d'Henri VI. Il ne la garda pas longtemps, puisque, le 18 août 1 451, elle fut donnée à Baudinot Gassies, homme d'armes, avec celle de Castelnau-de-Cernès. Après la conquête de la Guienne, les La Mote rentrèrent en possession de la terre de Noaillan. Jean de La Mote, seigneur de Castelnau-de-Mesmeset de Noaillan, était neveu du maréchal Pothon de Xantrailles, qui lui laissa par testament tous ses biens, à la condition qu'il épouserait Béatrix de Pardaillan, sa nièce, et que l'aîné des enfants mâles qui naîtrait de ce mariage prendrait les armes de Xantrailles et les écartellerait de celles de La Mote. S'il ne voulait pas ou ne pouvait pas accepter ces conditions, il lui substituait Bernard de La Mote, son frère. Béatrix fut épousée par Bernard, et recueillit la succession de son oncle. En 1520, Jean de La Mote, seigneur de Noaillan, fils de Bernard, contribua à rédiger et publier les Coutumes de Bordeaux. Un autre Jean de La Mote existait en 1473 à Castelnau-de-Mesmes.

Le 9 mai 1567, François de La Mote vendit les terres de Noaillan et Léogeats à Jean Le Berthon, conseiller au Parlement de Bordeaux, pour la somme de 12,000 francs bordelais. Celui-ci les revendit pour la même somme, le 5 octobre suivant, à Raimond de La Roque, seigneur de Sainte-Croix du Mont, habitant de Langon. A l'époque de cette vente, un procès, à propos de cette seigneurie, était pendant entre les héritiers de Pierre de Béarn, seigneur de Bonnegarde, et les La Mote. François de La Mote n'ayant pas payé une somme de 6,787 livres 2 sous, qui était due à Gaston, fils de Pierre de Béarn, la terre de Noaillan fut adjugée à Gaston, par arrêt du Conseil du 24 février 1560. François étant mort, Jean de La Mote, son fils, intenta action de retrait lignager pour raison de la terre de Noaillan, et Gaston de Béarn fut condamné à la restituer moyennant remboursement de la somme due; mais il fit appel, et comme il était valet de Louis de Bourbon, prince de Condé, alors tout puissant, le procès fut probablement suspendu. Pendant ce temps, Jean mourut, et François de La Mole, qui doit être son frère, étant encore très jeune, lui succéda. Ses tuteurs, François et Jean de Balaguier, évêques de Cahors et de Bazas, reprirent le procès. La sentence précédente fut confirmée pendant les troubles de 1569; mais le calme étant rétabli dans la province, cet arrêt fut cassé, et Gaston remis en possession de Noaillan. Cependant, les Balaguier obtinrent des lettres-royaux contre ledit arrêt. Gaston étant mort, sa veuve fit de nouvelles démarches; les Balaguier furent encore condamnés. Enfin, pour terminer ce long procès, ils demandèrent au roi d'ordonner à la veuve de restituer à François de La Mote la terre de Noaillan, moyennant qu'on lui remit les sommes qui lui étaient dues. Après quelques autres contestations, cette seigneurie fut rendue, le 4 mai 1 578, à dame Marie de Balaguier, douairière de La Mote, mère de François de La Mote.

Il est assez probable qu'en 1567, la terre entière de Noaillan, et surtout le château, ne furent pas vendus à Jean Le Berthon, puisqu'on trouve que, le 30 mai 1586, messire Guillaume de Gascq, sieur de Razat, chevalier, trésorier général de France en Guienne, coseigneur de la moitié dudit Noaillan, afferma cette terre et seigneurie. Il était beau-frère de François de La Mote en Madame de Piis, sa sœur. On trouve aussi que, le 8 juillet 1589, François de La Mote, écuyer, seigneur et baron de Castelnau-de-Mesmes et baron du Bazadais, par acte passé à Bazas par devant Chaumette, notaire, vendit la terre de Noaillan à Olivier Des Combes, aussi écuyer, coseigneur de la baronnie d'Auros et de Sepaux, habitant dudit Auros; mais que le 13 juin suivant, le procureur fondé de dame Françoise de Ballaguier, tante maternelle de François de La Mote, prit possession de cette seigneurie devant Duboucher, notaire, avec tout droit de justice haute et basse, par suite du rachat qu'elle en avait fait du sieur Des Combes, en exerçant le retrait lignager. Cette prise de possession fut notifiée, le dimanche 17 du même mois, à l'issue de la messe paroissiale, aux habitants de Noaillan, qui déclarèrent "estre contens et ayses dudict rachapt, et qu'ils recognoisteront et recognoissent ladicte dame pour leur dame justicière, foncière et directe, et luy rendront l'honneur, respect et obeyssance que subjetz sont tenus fère et doivent à leurs seigneurs ou dames, et luy feront et payeront les droitz, devoirs, cens, rentes et autres qu'ils fezoient audit sieur de Castelnau". Le 19 juillet 1 592, cette même dame revendit la même terre, aussi à titre de retrait lignager, à Joseph de La Mote, sieur de Lerm, frère dudit François. Cependant, ce même François de La Mote est, dans un acte d'achat, daté du 17 juillet 1597, d'un immeuble situé à Léogeats, qualifié chevalier de l'ordre du Roi, seigneur et baron de Castelnau, de Lerm et de Noaillan, capitaine de 50 hommes d'armes et gouverneur pour le roi de la ville de Marmande. Il existait encore en 1613.

A cette époque, il s'éleva entre les habitants de Léogeats et le seigneur de Noaillan un procès assez singulier. Celui-ci, par acte devant Dusoulx, notaire, somma, le 4 juillet 1629, les habitants qui lui devaient le tiers de la dîme de Léogeats (les deux autres tiers appartenaient au curé dudit lieu) d'avoir à scier le blé qui lui revenait pour ladite dîme. Les habitants répondirent qu'ils avaient, de tout temps, laissé un sillon sur dix à scier, et que les seigneurs devaient le faire scier eux-mêmes. Le procès n'en resta pas là. Une enquête à ce sujet fut faite le 26 juin 1684; mais les choses ne parvinrent pas à s'arranger. La proportion de la taille, et probablement de la dîme, ne se faisait pas avec toute la justice possible, " puisque le roi, par arrêt de son Conseil d'État, tenu à Versailles ce 21 août 1764, désunit la paroisse de Leojats... de celle de La Mote-Noaillan, quant à l'assiette, répartition et levée de la taille, capitation et autres impositions". François de La Mote eut pour fille Guyonne de La Mote, marquise de Castelnau, qui avait épousé en dernières noces messire Jean d'Espagnet, conseiller du roi et président au Parlement de Bordeaux. Cette dame étant morte, les seigneuries qui lui appartenaient furent partagées, le 15 avril 1686, entre son mari, messire Gaston de Bouzet, marquis de Poudenas, et demoiselle Barbe d'Espelette: celle-ci en qualité de plus proche parente de la marquise de Castelnau. Messire Jean Duroy acquit peu de temps après, des sieurs d'Espagnet et de Poudenas, la moitié de la terre de Noaillan. Le 14 juin 1690, il fut procédé à la vérification du dénombrement de cette terre sur la réquisition de messire Duroy, agissant tant pour lui que pour messire François de Piis de Varennes, seigneur de Vidaillac et Feugas, auquel Barbe d'Espelette, par son testament en date du 27 août 1689, avait. donné une moitié de sa terre de Noaillan, dont elle donnait l'autre moitié à noble Gabiiel de Piis de Puybarban, écuyer, frère de feu François de Piis, écuyer, seigneur de Puybarban, de Bassanne, et coseigneur de La Mote. Jean Duroy possédait donc la moitié de Noaillan; il était mort en 1700, et le 10 décembre de cette année, sa veuve, dame Catherine de Suduiraut, en acquit l'autre moitié de messire Pierre de Piis, seigneur de Vidaillac et Feugas. Les descendants de Jean Duroy conservèrent la terre de Noaillan jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. A la fin du XIXe siècle, les fils de M. Nicolas-Marie-Edme Guillot étaient propriétaires de Noaillan. (1)

Le château de Noaillan est un polygone irrégulier, bâti à l'extrémité occidentale du bourg, dont il devait être jadis séparé par un fossé entièrement comblé maintenant. Du côté occidental, il est protégé par une double terrasse au dessous de laquelle s'étend une vaste prairie. Son enceinte était jadis flanquée, dit-on, de onze tours; il n'en reste plus que deux à l'ouest. Le château actuel bâti du XIIIe au XIVe siècle, se compose de bâtiments d'époques diverses situés autour d'une cour centrale et appuyés sur une courtine de forme polygonale. Cette muraille, flanquée de deux tours, a été remaniée à plusieurs reprises, dont le XVIe siècle. Le corps de bâtiment, actuellement ruiné, date du XVIe siècle, mais a été remanié au XVIIe siècle. C'est un édifice rectangulaire à deux niveaux, percé de baies avec croisées à meneaux. Un nouveau logis lui est accolé au XVIIIe siècle. Plusieurs bâtiments agricoles complètent l'ensemble.

Éléments protégés MH : le château de Noaillan en totalité : inscription par arrêté du 21 décembre 2004. (2)

château de Noaillan 33730 Noaillan, propriété privée, ne se visite pas, vestiges.

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source de la photo par satellite: https://www.google.fr/maps, les deux autres photos sous licence Creative Commons.
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(1)       La Guienne militaire: histoire et description des villes fortifiées, forteresses et châteaux construits dans le pays pendant la domination anglaise. par Léo Drouyn (1816-1896). Éditeur: Didron Paris (1865)
(2)
     
 source :  https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/

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