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Château du Malploton à Saint-Victor-Malescours
 
 

          Adossé au flanc d’une colline que couronne la forêt de Bramard, le château du Malploton domine les belles prairies vallonnées baignées par la Semène, au-delà desquelles se profile dans le lointain, la chaîne pittoresque des Cévennes. Situé à la limite extrême du Forez, il dépendait pour le spirituel du diocèse du Puy, il a été depuis rattaché au département de la Haute-Loire, comme faisant partie de la paroisse, puis de la commune de Saint-Victor-Malescours. A une date très ancienne, un château-fort y fut construit, il se composait d’un vaste corps de bâtiment aux murs épais, flanqué de quatre tours massives garnies de canardières et de meurtrières au tir rasant, entouré d’une enceinte elle-même protégée, avec son puits intérieur, son silo ou cave souterraine, retrouvé en 1892, et les longs souterrains que la tradition lui attribue et dont des vestiges ont été découverts en 1858, il offrait a ses défenseurs des ressources sérieuses, aussi dut-il remplir un rôle efficace lors des invasions puis des guerres entre seigneurs si fréquentes à cette époque troublée du moyen-âge et dont, à peu de distance, le champ dolent conserve le douloureux souvenir. Ses premiers possesseurs paraissent être les seigneurs de Saint-Didier, qui durent l’établir pour la protection de leur baronnie. Guillaume de Saint Didier, troubadour est seigneur dudit lieu de 1100 à 1185; Jausserand 1er de Saint-Didier, de 118o à 1240; Jausse rand II succède à son père et rend hommage à l'evèque du Puy, en 1285, pour son château de Saint-Didier et tout ce qu'il possédait en propriétés et seigneurie à la Séauve, Saint-Victor, Saint-Romain, etc, avec justice haute, moyenne et basse: Alexandre de Saint-Didier, de 1308 à 1332; Jausserand III de Saint-Didier, de 1332 à 1307; Pierre de Saint-Didier, dit Testard, dernier du nom, de 1307 à 1372; il n’eut que deux filles, Ysabeau, dite Bellonde, qui épousa Jean de Polignac et mourut sans postérité, laissant la baronnie de Saint-Didier à sa sœur Thibourge qui, veuve de noble Lacoudiouse, gentilhomme du Velay, épousa en 1379 Louis de Joyeuse, veuf de Marguerite de Chalencon.

On ne peut dire avec certitude quel fut celui d’entre eux qui construisit le château, remontant au-delà du XIIe siècle, mais dont la valeur au point de vue défensif paraît s’être assez vite amoindrie. Jausserand III l'aurait compris dans la donation qu’il fit à sa sœur Isabelle, fille d’Alexandre de Saint Didier et d'Agnès du Chayla, alors que, déjà veuve de Hugues de Haulterive de Vais, elle épousa en secondes noces, vers 1335, Henri dit Ploton de Roohebaron, seigneur de Montarcher et Leiniec, veuf lui-même de Marcibelle, fille de Giraud de Boissier. On peut conjecturer qu’Alice de Rochebaron, alors abbesse de la Séauve ne fut pas étrangère à ce mariage. Les armes des Saint-Didier sont d'azur au lion d’argent; à la bordure cousue de gueules, chargée de huit fleurs de lys d’or. C’est depuis cette époque qu’on voit le Mas prendre le nom de son nouveau propriétaire, Mas Ploto, Mas Plotoni, Mansum Plotoni, puis Malla Plotoni et finalement Malploton. A la mort de Plotard de Rochebaron, fils des précédents, son cousin et héritier Guigon de Rochebaron, assisté de ses oncles Armand de la Tour et Albert de Rochebaron, prieur de Saint-Trivier, exécuteurs testamentaires, vendit le Mas ainsi que le domaine et bâtiment de la Fressange, à Jehan Allier, le 22 juillet 1372. Ce fut au château de Polignac que Jehan Allier en reçut l'investiture, le 22 août 1372, de noble Armand, vicomte de Polignac, administrateur des biens de son fils Jean, mari d’Isabeau, dite Bellonde de Saint-Didier. Jehan Allier de la Fressange était notaire à Saint-Didier et fut anobli en 1375, il reçut ses lettres de noblesse du Roi Charles V, lors de son passage au Puy, en 1378. Le 7 août 1385, il rendit hommage pour le Mas Ploto, à Louis de Joyeuse, époux de Thiburge de Saint-Didier, mais sans doute en raison de l’état de délabrement de la vieille demeure, il préféra s’installer aux portes de Saint-Didier, à la Fressange, dont il prit le nom. De son mariage avec Aélis de Chazelle, il eut plusieurs enfants dont Gabriel qui fut son héritier universel.

Gabriel Allier de la Fressange, testa le 3 août 1436 et fut père de Jean II Allier de la Fressange, qui épousa vers 1434, Marguerite de Saint-Jeure, fille de noble Antoine de Saint-Jeure, seigneur de la Bastie d’Andaure, dont Gabriel, qui suit; 2° Guillaume; 3° Anastasie, mariée à Nicolas Brun; 4° Gabrielle, mariée en 1513, à Guillaume de Montagnon, juge à la Cour du Puy; 5° Catherine, femme d’André du Peloux, en 1450. Gabriel II Allier de la Fressange, épousa en 1488, Florence Rodilhon, fille de Pons, seigneur de Combraux, dont Jehan, qui suit; 2° Guillaume; 3° Claude, prêtre à Saint Didier; 4° François, religieux de Saint-Antoine; 5° Charles; 6° Anne, mariée le 6 janvier 1518, à Jehan de Solas, seigneur des Hyvernaux; 7° Françoise, qui épousa Jean des Champs, seigneur du Cortial; 8° Marguerite, mariée à Jean Truchet, co-seigneur de Saint-Agrève; 9° Jeanne, mariée à Claude Martin. Jehan III Allier de la Fressange, épousa en 1521, Blanche du Pont, fille de Claude seigneur de Munas, dont Gabriel, qui suit; 2° Robert; 3° Nicolas, dit frère Jean; 4° David Christophe, chevalier de Malte; 5° Jeanne, mariée le 15 mars 1547, à noble Guillaume de Jar, fils de Jean et de Souveraine Jullien; 6° Jacques; 7° Isabeau, religieuse à la Séauve. Gabriel III Allier de la Fressange, né en 1532, épousa en 1566, Marguerite de Thiollent, fille de Roderic, seigneur du Thiollent, mort en 1580, d’où Jehan, qui suit; 2°Paule, mariée vers 1595, à noble Jehan de Chave, seigneur du Col, juge du Bourg-Argental. Jehan IV Allier de la Fressange, épousa en 1601, Isabeau de Brunier de Larnage, fille de Jehan et d’Antoinette d’Arsac, dont Clauda, mariée le 20 octobre 1627, à noble Jean de Saignard, seigneur des Préaux, auquel elle apporta la Fressange; 2° Marguerite, mariée le 1er septembre 1632, à noble Pierre de Fournier.

Le 4 juillet 1615, Jehan Allier de la Fressange, vendait à Pierre de la Fayolle, son beau-frère "la rente et autres droits seigneuriaux que lui et ses prédécesseurs avaient coutume de prendre au village de Masploton, sur les habitants d’iceluy et dépendances, contenues au terrier, reçu et signé Balmat, pour le prix de 786 livres". Les armes des Allier de la Fressange sont d'azur à l’aigle essorante d’argent. Messire Pierre de la Fayolle, chevalier des Ordres du Roi, gentilhomme ordinaire de Sa Chambre, lieutenant des gardes du Corps de Sa Majesté, seigneur de Cublézes, Masploton et autres terres, établit sa résidence au château du Masploton. D’origine dauphinoise, il était fils de Gilles et de Gabrielle Coloneau, et avait épousé Marguerite de Brunier de Larnage. Par des achats successifs, depuis 1597, il s’était constitué au Malploton un domaine important dont l’acte de 1615 lui assurait l’autorité et l’indépendance. Pierre de la Fayolle entreprit de suite la restauration de la vieille demeure, il pratiqua dans les murailles de larges brèches, dont les traces étaient encore visibles au XIXe siècle, afin d’établir des fenêtres à meneaux, laissant pénétrer plus d’air et de lumière que les petites ouvertures du château fort; la tour principale, renfermant l’escalier de pierre, fut dotée d’une belle porte d’entrée, aux pilastres cannelés surmontés de chapiteaux ioniques et d’un puissant linteau à ses armes, précédée d’un perron â cinq marches. A l’intérieur du rez-de-chaussée, aux fenêtres plus étroites restées grillées, il installa deux grandes cheminées en pierre, armoriées, des plafonds à la française ne faisant qu’un avec le plancher du "solier". Les poutres un peu lourdes furent peintes en ocre jaune, décorées d’ornements en noir ondulants et serpentants. La terrasse aux grands ombrages fut fermée par un portail monumental, en pierres de taille, flanquée d’abris avec meurtrières, reste probable des anciennes défenses.

Pierre de la Fayolle, testa le 9 juin 1625 en faveur de dame Marguerite de Brunier, sa femme, il mourut peu après sans postérité après avoir fait, le 17 septembre 1625, une fondation annuelle à l’église de Saint-Victor, pour la chapelle de Sainte-Anne, qu’il choisit pour sa sépulture et celle de ses successeurs. En souvenir de son mari, Marguerite de Brunier fit élever la croix de pierre, dont la colonne est ornée d’une effigie de saint Pierre, qui existe encore à l’entrée de la belle allée d’arbres séculaires conduisant au château. Les armes des la Fayolle sont de gueules à une fleur de lys d’argent, accompagnée de trois croissants de même, deux en chef et un en pointe; au chef d’or, chargé de trois croix recroisettées de sable. Tous les blasons du Malploton ayant été effacés sous la révolution il n’est plus possible de les retrouver sur les vieilles pierres du manoir. Marguerite de Brunier se remaria le 21 septembre 1626, à noble Jacques de Soubeyrand, seigneur de Montgiraud et Saint-Martin, co-seigneur de Bonnas, issu de feux noble Innocent et d’YsabeauFarnier, en son vivant dame de Montgiraud, fille de noble Pierre, seigneur de Saint-Martin-de-Fugères. Marguerite de Brunier testa le 9 juin 1629, désignant pour héritier universel son époux, à charge par lui, de remettre ladite hoirie, à tel qu’il lui plaira d’élire parmi ses enfants, à condition que celui qui sera nommé porte le nom et armes du seigneur de la Fayolle, à défaut de quoi ses biens seront employés à construire deux couvents, l’un à Cublèse en Velay, pour les Pères de l’Oratoire, l’autre à Malploton, en Forez, pour les filles de Notre-Dame-du-Puy. Jacques de Soubeyrand, fut maintenu dans sa noblesse les 8 février 1627 et 23 juin 1634.

Veuf de Marguerite de Brunier, il épousa après 1650, Marie-Louise de Ginestous de la Tourrette, fille de Guillaume et de Marie de Vaulsèches; il testa le 25 novembre 1648, laissant, de son premier mariage Antoine, marquis de Montgiraud, marié à sa cousine Marguerite de Brunierde Larnage, dont une fille unique; 2° Just-Henri, seigneur de Cublèses, officier de cavalerie; 3° François-Philibert, chevalier de la Fayolle-Montgiraud, capitaine de cavalerie; 4° Innocent, écuyer, qui suit; 5° F'rançoise, mariée au comte de la Forest-Divonne, a qui elle transmit la terre de Larnage. du second lit il eut Marie; 7° Henri; 8° François; 9° Innocent; 10° Joseph, seigneur de Saint-Martin. Innocent de Soubeyrand, écuyer, seigneur du Malploton y mourut célibataire, le 26 mai 1727, âgé de 77 ans. Les armes de cette famille sont d'azur au buste féminin d’or, couronné et chevelé aussi d’or, accosté de deux croissants du même; coupé de gueules au taureau passant d'or, accosté de trois gerbes de même, deux en chef et une en pointe. Messire Gilbert de la Forest, chevalier, comte de Divonne, Montgiraud, Larnage, etc, brigadierdes armées du Roi, fils de Françoise de Montgiraud et du comte de la Forest Divonne, habitant le château de Divonne, au pays de Gex, hérita de son oncle Innocent de Soubeyrand, du château et de la terre du Malploton, qu’il vendit le 24 novembre 1733, à Messire Gabriel du Peloux, seigneur de Saint-Romain, pour la somme de 20.000 livres. La Forest-Divonne porte de sinople à la bande d'or frettée de gueules. Joseph-Gabriel du Peloux, fils d’Annet, et de Colombe de Clavière, acheta du marquis de Nérestang, seigneur de Saint-Didier, le droit de haute et de basse justice dans sa juridiction; il testa le 4 mai 1748 et laissa de son mariage avec Françoise-Angélique de Fillière de Charrouil: Gabriel-Joseph, qui suit; 2° Jean-Joseph, capitaine d’infanterie, chevalier de Saint Louis; 3° et 4° Joseph et Charles, chanoines à Vienne; 5° Pierre, mort à l’armée en Italie; 6° Marie-Madeleine, mariée le 4 juillet 1792, à Jean-Armand de Saignard, seigneur de la Fressange; 7° et 8° Claire et Jeanne, religieuses.

Gabriel-Josephdu Peloux, épousa Françoise-Marie de Boucherolles, dont Louis, qui suit; 2°Jacques, chevalier de Saint-Louis; 3° Claude-Louis, seigneur du Mas Ploton, chevalier de Saint Louis; 4° Charles, chanoine à Vienne; 5° Antoine, grand vicaire à Mende; 6° Marie, mariée â M. de Grondin, capitaine de dragons; 7° Françoise-Angélique, mariée à noble Jean-Alexandre Ronat de Ville. Louis, comte du Peloux, chevalier de Saint-Louis, capitaine au Régiment de Talaru, vendit le 21 novembre 1782, la terre et le château du Malploton, au chevalier Louis-Octavien de Borel d’Hauterive. Chevalier de Malte, l’acquéreur était fils de Pierre, marquis d’Hauterive et de Claire de Grattet de Dolomieu. Sa sœur Louise avait épousé, le 27 juin 1766, Jean-François de Colomb, baron de la Tour et Beauzac et c’est cette circonstance qui l’amena à faire l’acquisition du Malploton, qu’il ne garda pas longtemps car Denis Sovignet y était installé dès avant juin 1787, date où il gérait les affaires de la paroisse de Saint-Victor. Borel d’Hauterive porte d'argent à la croix engrelée d’azur, cantonnée de quatre rencontres de bœuf de gueules, cornées d’or et enchaînées de sable. La famille Sovignet, quelquefois Souvignet et Sovignhec paraît originaire de la région de Riotord, peut-être du lieu de Souvignec, paroisse de Saint-Julien-Moleshabate. En 1778, Denis Souvignet (1722-1808) habitait à Laborier, près de Riotord, mais moins de dix ans après, il était au Malploton, après avoir habité quelque temps à Devesset. Le 20 décembre 1790, il fut nommé maire de Saint-Victor. Il avait épousé Marie Seut, née aux Ribes, près Saint-Agrève, d’où Jean, qui suit; 2° Madeleine (1776-1805); 3° Joseph, fixé à Marlhes.

Jean Sovignet (1754-1830), fut nommé maire de Saint-Victor, le 10 germinal, an VI, il embrassa avec ardeur les idées nouvelles, fit raser l’une des deux tours qui subsistaient encore au Malploton pour satisfaire aux décrets égalitaires et aux ordres du district. Quant à la dernière tour qui contenait l’escalier, il la fit rabattre au niveau de la toiture, regrettant, dit-il, de ne pouvoir faire davantage. Deux autres des quatre tours primitives avaient disparu antérieurement, mais si l’on en croit la tradition locale, leurs traces en étaient encore visibles au XVIIIe siècle. Les travaux entrepris par Denis Sovignet l’amenèrent sans doute à reconstruire la façade ouest du château, partie qui, à en juger par les détails intérieurs des planchers fut certainement raccourcie; l’angle sud-ouest portait encore gravée dans les énormes pierres de son soubassement, la date de 1818. Il avait épousé Marie-Anne Paulet, d’où Jean-Denis, célibataire, qui hérita du Malploton où il testa le 9 juin 1849, laissant sa propriété à son neveu; 2° Augustin, propriétaire à la Malcognière, hérita du domaine des Ribes; 3° Isidore, marié le 11 octobre 1821, à Catherine Duplay, héritière de Rebaudcs, dont Augustin, qui suit; 4° Philippe, dit de Ribes, notaire à Saint-Didier, célibataire; 5° Madeleine-Lucie; 6° Louise (1782-1842) sœur Saint-Paul; 7° Jeanne (1787-1829) sœur Saint-Augustin; 8° Marie; 9° Amable, expert à Saint-Didier. Augustin Sovignet, fils d’Isidore, hérita du Malploton et épousa dlle Neyret, d’où Adrien; 2° Joseph, ingénieur aux fonderies de Chasse; 3° Henri; 4° Auguste; 5° Marie, mariée à Nicolas Bouchut, ingénieur aux mines de Montrambert; 6° Jeanne.

A la mort d’Augustin Sovignet, M. Théodore de Véron de la Combe, se rendit acquéreur du château et de la terre du Malploton, le 29 juillet 1889. Il restaura la façade et le rez-de-chaussée, en dégagea les abords et en fit une résidence confortable et agréable. La famille de Veron qui porte d'azur au cerf ailé élancé d or, est originaire de cette région, limitrophe des trois pays: Forez, Velay et Vivarais; elle bénéficia de divers arrêts de maintenue de noblesse et fit partie de l’Assemblée de la noblesse du Puy en 1789. Théodore de Veron de la Combe (1848-16 février 1924) marié en 1880, à Marie Vialleton, fille d’Auguste et de Laurentine Guichard, d’où Norbert, qui suit; 2° Auguste 24 juillet 1882, marié le 16 avril 1912, à Madeleine Neyret, fille de Louis et de Félicie Moreau; 3° Marcel, marié le 14 février 1920, à Adrienne Pascal, fille de Pierre et de Jeanne Vassivière, d’où Marie-Pierrette-Jeanne, née en 1920; Jeanne Edmonde-Tliéodora, née le 20 avril 1922. Norbert de Veron de la Combe, né le 25 juin 1881, marié le 30 novembre 1910, à Suzanne Comte, fille d’Albert et d’Albine Verne, d’où Théodore, né le 21 février 1912; 2° Marie (16 juin-21 décembre 1914); 3° Albert, né le 22 novembre 1915. (1)

château du Malploton 43140 Saint-Victor-Malescours, propriété privée, ne se visite pas.


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    Les Châteaux historiques du Forez par Emile Salomon, Vol. III, Imprimerie de Normand, Hennebont, Morbihan (1916-1926)

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