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Château du Paradis à La Croix-en-Touraine
 
 

         Paradis, fief relevant à foi et hommage lige de la seigneurie des Cartes, appartenait en 1550 à Guillaume le Heurtaux avant de passer à la famille de Odeau qui allait en avoir la possession pendant plus d'un siècle. C'est donc à peu près certainement l'un de ses membres qui fut le constructeur de la partie Renaissance. Le premier d'entre eux, Hélie de Odeau, fils de Jean, sieur de la Duponterie, secrétaire du roi et contrôleur général de l'argenterie de la Reine, fut le premier maire élu d'Amboise le 2 février 1558. Il exerça ses fonctions jusqu'en 1562 où on le voit prêter 1200 livres à la ville pour la construction d'une poissonnerie, et fut remplacé le 2 février par son adjoint Alain Francboucher. En 1582, Hélie Deodeau, fut anobli par Henri III en considération des services rendus par lui pendant 50 ans en tant que contrôleur général de la Maison du roi. Cependant dès le 30 janvier 1572, il avait résilié ses fonctions en faveur de son fils Hélie deuxième du nom, qui prêta serment le 18 février. Il devait être reçu à son tour comme maire d'Amboise le 9 février 1592. Son père décédé le 12 octobre 1584, avec sa mère Anne Blandin, morte deux ans plus tôt, furent inhumés "devant le Crucifix, près du grand autel" en l'église Notre Dame en Grêve, près de leurs parents, où leur dalle funéraire est aujourd'hui en grande partie effacée. Sa transcription heureusement en fut jadis effectuée par monsieur Palustre. Après Jean Deodeau, le fief de Paradis va connaitre durant tout le XVIIe siècle, plusieurs changements de titulaires. Le 29 juillet 1635, on baptisa dans l'église Notre Dame d'Amboise Catherine, fille de Jehan Frémont, écuyer, seigneur de Paradis, capitaine d'une compagnie au régiment de Plessis-Praslin et de Marie Sauvage. La marraine fut Françoise de Boineau femme de Jean de Odeau. Mais bientôt veuve, Marie Sauvage, le 18 mai 1641, vendit Paradis à Jean Malvaut, bourgeois de Paris. Les biens de ce dernier ayant été saisis, un arrêt de la Cour des Aides ordonna la mise en vente du domaine qui appartint par la suite à Jean le Roy qui le donna à bail le 10 septembre 1672.
Le Paradis devait entrer à la fin du siècle dans le patrimoine de Jean Chasteigner, chanoine de Saint Florentin, prieur commendataire de Saint Denis d'Amboise. On le voit en 1698, consigner 4.550 livres "pour prix de l'adjudication à lui faite le 30 mai dernier, de la terre et seigneurie de Paradis, saisie sur la succession de Jean Jouanne, procureur de la cour" mari d'Anne le Roy. La famille Chasteigner allait en garder la propriété jusqu'en 1740. En 1696, Jean Chasteigner avait acquis la charge de maire d'Amboise. En 1713, lorsqu'il prend des mesures pour les réjouissances publiques à organiser à l'occasion de la signature de la paix d'Utrecht, on le dit "seigneur de Paradis, maire perpétuel ancien, alternatif et triennal, général de police de la ville d'Amboise". Après un an d'interruption en 1718 causé par un essai de changement dans les administrations municipales, il la retrouva en 1719. Il devait par la suite se heurter à une certaine hostilité de la part des autorités de la ville. Maintenu maire en 1726 par un arrêt du Conseil d'Etat, le procureur et les échevins firent opposition à cette décision. Par lettres patentes du 15 janvier 1729, le roi les débouta de leur action. Finalement en 1730 "l'assemblée de ville décida qu'elle fera au sieur Chasteigner le remboursement de la finance de sa charge de maire, afin de recouvrer la liberté des élections municipales". Quand le roi supprima la charge de maire perpétuel, le sieur Gaillard l'aîné, écuyer, fourrier des logis du roi, remplaça alors monsieur Chasteigner. Celui-ci en 1734, dans une supplique adressée à l'intendant concernant la délivrance de la somme de 20900 livres en "remboursement d'une partie de la finance de son office", est encore qualifié de conseiller du roi, lieutenant général de police à Amboise, mais il dut mourir quelques années plus tard.
Sa veuve Jeanne Denis, avec ses enfants, vendit alors Paradis pour 50000 livres le 14 juin 1740 à Guillaume de la Mardelle, écuyer, conseiller du roi qui dès le premier octobre en fait effectuer "lévantillement ". En tant que seigneur de Paradis, contrôleur des guerres, il donne le 28 novembre 1750 une commission de garde des bois, pêches et chasses à Jacques Pancouet. De son union avec Anne Marran il eut au moins deux enfants. Le garçon Guillaume-Pierre de la Mardelle deviendra le 14 avril 1767, procureur général à Saint-Domingue. Le 21 septembre de la même année, sa sœur Anne-Magdeleine, avec son mari Alexis-Auguste Duveau, écuyer, Président-trésorier au bureau des finances de Tours, procéda à un échange avec le duc de Choiseul. Celui-ci leur abandonnait la châtellenie d'Ecueillé et recevait en contre-échange la terre et seigneurie de Paradis. Mais une soulte de 30000 livres restait à la charge du sieur Duveau qui s'engageait à la payer par termes de 10000 livres avec intérêts. C'est alors que le château aurait été remanié, transformé et relié par une allée directe à travers la forêt, à Chanteloup dont le domaine avait pour régisseur depuis le 8 mai 1748 Ambroise Ribot. Celui-ci devint propriétaire en 1770 du beau château de Leugny à Azay sur Cher qu'il revendit le 7 septembre 1779. Quelques semaines plus tard, le 15 octobre, le duc de Choiseul voulant témoigner au sieur Ribot "la satisfaction qu'il a de ses bons, utiles et agréables services qu'il lui a rendus depuis 18 ans dans l'administration générale de ses affaires", lui donna "à titre de récompense" le château de Paradis.
Celui-ci est composé de deux grands corps de logis couverts d'ardoises, pressoir, grange, colombier, remise, écurie, grande cour, logement de métayer, verger, bosquet de charmille avec le bordage de la Giraudière. Par la suite, Ribot agrandit à plusieurs reprises son patrimoine. Le 22 août 1780, il acquiert le "lieu de Mesvres de monsieur de Belfond", le 12 juillet 1783 "le sieur Lelarge d'Hervault" lui vend les Cartes et le Mée. Son épouse, dans la succession de ses parents, monsieur et madame Blin avait recueilli la Bourellerie. Après sa mort, les héritiers firent procéder à la licitation des biens. Le premier mars 1788, en l'audience du duché d'Amboise, le Paradis avec les Cartes, Mée, Mesvres et la Bourellerie furent adjugés à Charles-Marie-Marthe-Jacques Reverdy, Conseiller du roi et à son épouse Béatrix Félicité Ribot. Mais ils n'en gardèrent pas la propriété longtemps, car le 2 mai 1792, ils revendaient l'ensemble pour 304800 livres à Salvador Dubernard, négociant demeurant à Séville (Espagne) et Marguerite Delachaume. Une somme de 115600 livres devait être versée par l'acquéreur à divers créanciers, dont madame veuve Ribot mère, à laquelle il était encore dû 60400 livres sur le prix de l'adjudication de 1788. Cet acte nous apprend qu'il était dû chaque année à la cure de la Croix de Bléré: 22 sous, 2 poulets et un quart de vin, au ci-devant chapitre de Saint Gatien 10 livres et à la cure de Civray 50 livres par suite d'une fondation assignée sur la maison de Mesvres. L'acquéreur s'engage à continuer à verser ces redevances. Le citoyen Dubernard ajouta aux diverses dépendances de Paradis le lieu de la Maison Blanche, achetée le 5 messidor an II (23 juin 1794) du citoyen Bassonneau, fabricant à Amboise et d'Anne Claire Potet. Puis après avoir fait couper les ormeaux d'une pièce de quatre arpents dépendant des Cartes il retourna à Séville et le 1 thermidor an V (4 août 1797), il donnait procuration à Louis Baudry, demeurant à la Goguerie à Saint Cyr pour revendre le domaine.
Celui-ci fut acquis le 20 fructidor an V (6 septembre 1797) par Jean-René Chauveau, ancien maître de forges, demeurant à Mayenne et Florence-Marie-Suzanne Thomas Dutaillis. Devenu veuf, monsieur Chauveau qui avait eu deux filles: Louise-Sophie, épouse Lemaignan et Florence-Perrine alors décédée laissant à son mari Clément Coustis un garçon mineur demanda au tribunal le règlement de la succession. Par jugement du 22 frimaire an XIII (14 décembre 1804) l'expertise préalable des biens fut ordonnée et effectuée le 11 germinal (1er avril 1805). Ceux-ci se trouvèrent composés de: Paradis évalué 30.00000 francs, sa métairie 10980,00 francs, la Giraudière 1919,00 francs, la Pommeraie 91000 francs, la Maison Blanche 140000 francs, la Bourellerie 1604900 francs, Mée 928200 francs, les Cartes 2807500 francs, le bordage de la Pinguenettière 700000 francs, Maltaverne 144000 francs, Roulle-Crotte 475500 francs, Mesvres 4907400 francs, la maison de la Chevrollière 2550, francs et celle de Monvoisin 285000 francs. En ajoutant 267300 francs de rentes et créances diverses on obtenait un total respectable de 17295700 francs. Les experts ayant déclaré les biens non divisibles sans perte, le tribunal ordonna la vente par jugement du 26 floréal an XIII (16 mai 1805) et le 14 thermidor suivant (2 août 1805) Jean Chauveau récupérait Paradis et ses dépendances pour 18000000 francs. Il en transmit la propriété quelques années plus tard à son petit fils encore mineur, Clément Hippolyte Coustis de la Rivière, par acte du 26 juin 1809. En tant que tuteur, son père Clément Coustis de la Rivière, chef d'escadron, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint Louis, demeurant à Paradis, avec monsieur Dutaillis le subrogé tuteur, mit en vente le domaine suivant un cahier des charges dressé par Mc Bidault le 28 mai 1819.
Un procès-verbal d'estimation établi par les experts du 6 avril au 4 mai précédent donne une description extrêmement précise et détaillée du "château neuf, terminé au levant par une chapelle sous laquelle est une cave voûtée ayant son entrée sous le perron à l'est" et de l'ancien bâtiment en retour d'équerre vers le nord. On y trouve un petit salon et un office "ayant sa porte d'entrée sur le salon à manger du château neuf". L'estimation est cette fois de 34360 francs et se monte au total avec les mêmes éléments que ci-dessus sauf la maison de Maltaverne à 25002600 francs. Mais on ne trouva pas à vendre "ni en totalité ni en division", aussi le 17 septembre 1821, il fut procédé par Maître Bidault à une adjudication. A l'extinction de la quatrième bougie, madame Robin de Scévole, au nom de son mari Louis Dauphin, ancien chevau-léger de la garde du roi, demeurant à Loches fut proclamée adjudicataire pour 16690000 francs. Trois ans plus tard le 7 juillet 1824, ils en cédèrent la propriété avec un bénéfice de 1000000 francs à monsieur Jean-Marie Gudin, propriétaire à Paris, pour un tiers et à son épouse Marguerite Ignard pour les deux autres tiers. Devenue veuve, celle-ci revendit le 2 mai 1836, la terre de Paradis qu'elle avait agrandie le 1er juillet 1826 de la ferme de la Rouillardière. L'acte passé à Paris est au profit de monsieur Denis Hilaire Frédéric Tremeau, marchand de bois à Druye (Yonne) et de monsieur Edme Paul Ernest Gentil de la Breuille, demeurant à Test Milon dans le même département, pour la somme de 30000000 francs. Ceux-ci sans doute désiraient seulement réaliser une opération commerciale car ils s'empressèrent au cours de l'année 1836 d'en vendre différentes portions au détail. L'ensemble comprenait encore plus de 340 hectares quand le 30 mars 1837, il fut cédé pour 20000000 francs. Autour "du vaste château bâti à la moderne" il y a encore la Rouillardière, les Cartes, le Mée, la Giraudière le reste des dépendances de Roulle-Crotte et la Maison Blanche.
L'acquéreur Charles Louis Joubert de la Bastide, était d'une famille d'ancienne chevalerie, originaire du Limousin, qui avait depuis le règne de Louis XIV, le titre de marquis de Chateaumorand. Né le 6 mai 1798, gendarme de la garde du roi, puis capitaine au 3ème régiment de hussards, il avait démissionné en 1830. Il avait épousé quelques années auparavant le 10 février 1826, Marie-Madeleine-Adélie Duval de Grenonville et leur contrat avait été signé par le roi Charles X et les princes de la famille royale. Le ménage eut six enfants, mais trois garçons décédèrent assez jeunes. Dans les années qui suivirent leur installation à Paradis, une requête en saisie immobilière fut déposée à l'encontre de monsieur de Chateaumorand par ses créanciers. Son épouse, qui le 7 décembre 1849 avait obtenu la séparation de biens, se fit adjuger le 6 juillet 1850 à l'audience des criées du tribunal de Tours, la terre de Paradis pour 24600000 francs. Elle devait d'ailleurs revendre ensuite la ferme des Cartes et la majeure partie du domaine de Roulle Crotte. Avant sa mort, survenue à Paradis le 7 juillet 1862, elle avait fait une donation partage entre ses trois enfants survivants, le 16 janvier précédent. Le château de Paradis fut attribué en indivision aux deux filles: Louise-Camille épouse de monsieur Turquand d'Auzay et Marie-Félicité-Blanche alors célibataire mais qui se mariera le 14 novembre 1871 avec le marquis Jehannot de Bartillat. Quelques jours avant, le 7 novembre 1871, la première avait racheté la part de la seconde. Devenue veuve sans avoir eu d'enfants, madame Turquand d'Auzay légua la terre de Paradis par testament du 17 avril 1912 à l'un de ses neveux Charles-Armand Jehannot comte de Bartillat, et décéda à Paradis le 2 juin suivant. Quelques mois plus tard, monsieur de Bartillat et Louise Joly de Bonneville vendirent le 19 novembre 1912 à Pierre-Philibert-Ernest Charpentier, manufacturier et Marie-Antoinette Pathault son épouse, demeurant rue Joyeuse à Amboise: le château de Paradis avec ses cours, jardins, écuries, remises, futaie, pièces d'eau, la ferme, la métairie de Mée et les bois le tout couvrant une superficie de plus de 240 hectares. Le 20 décembre 1934, monsieur et madame Charpentier revendirent le domaine à monsieur Marie François de Miribel, comte, général de brigade et à madame Marie Madeleine Charlotte de Préaulx dont les enfants ont encore la possession du château aujourd'hui.
Un petit chemin de terre se détachant de la route, aboutit à un majestueux portail en plein cintre, accosté intérieurement par deux contreforts et doublé à gauche par un guichet pour piétons semblable. L'un et l'autre sont encadrés de pilastres doriques soutenant un fronton triangulaire. Celui de l'entrée charretière est timbré d'un blason meublé d'un chevron, de deux étoiles et d'une pointe de croissant dans une guirlande de feuillage. Ce sont les armes des Deodeau qui portaient "De gueules au chevron d'argent accompagné en chef de deux étoiles d'or et en pointe d'un croissant d'argent". Le château se compose de deux parties dissemblables et d'époques différentes. Celle du nord, la plus ancienne, date du XVIe siècle comme le prouvent les baies de l'étage, aux pilastres avec chapiteaux caractéristiques de la Renaissance. Malheureusement tous les meneaux, dont l'emplacement reste visible ont disparu. Une croix de pierre, fixée postérieurement à la clef de la dernière fenêtre, et le petit clocheton d'ardoise rappellent l'existence d'une chapelle qui ne fut pas toujours à cet endroit. Elle est simplement mentionnée en marge sur le registre de visite de 1776 "Chapelle du Paradis. Paroisse de la Croix de Bléré. Mr Ribot", mais elle ne figure plus sur celui de 1787. A l'extrémité méridionale de ce corps de logis s'élève un bâtiment très imposant de deux étages et d'un comble, avec façade au midi. Les extrémités sont en très léger retrait de manière à former deux ailes. Aussi seule, la partie centrale du rez-de-chaussée est en bossages continus. Les percements au premier étage, ont leurs allèges formées de six balustres de pierre en poire, ceux du niveau supérieur ont des garde-corps métalliques sur des appuis en saillie, supportés par une double console.
Clérambault y voyait une certaine ressemblance avec le projet de façade de Chante-loup, dressé par Etienne Fournier et accompagnant un plan levé en 1776. Celui-ci présente en effet, des fenêtres au premier étage de l'avant- corps avec des balustres, mais les linteaux sont en plein cintre et surmontés de médaillons, ce qui n'est pas le cas ici. Un tableau de Jean-Pierre Houei, ornant jadis un dessus de porte de Chanteloup et conservé au musée des Beaux-Arts de Tours, datant de 1769, montre une sensible différence avec l'état actuel. L'édifice y apparait accosté de part et d'autre d'un pavillon moins élevé. L'un d'eux à droite est effectivement figuré sur un dessin complétant le plan en élévation de Paradis, avec deux baies plein cintre et surmonté d'une croix. C'était donc vraisemblablement la chapelle primitive. Mais curieusement sur ce document le bâtiment n'a qu'un étage et un comble percé de cinq lucarnes à fronton triangulaire. Le toit était à double versant, alors qu'il est aujourd'hui à quatre pans. Sa corniche protège une ligne continue de denticules. Ce serait Choiseul qui en surélevant les pavillons, aurait donné à Paradis ce nouveau visage, mais dans son gros œuvre, il n'en est pas moins d'une époque antérieure. Si la grande pièce d'eau enjambée par un pont, représentée devant le château n'existe plus, l'énorme fuie est toujours debout à l'angle sud-est. De plan circulaire d'environ dix mètres de diamètre, aux murs de près d'un mètre d'épaisseur, elle est édifiée en moellons enduits. Un bandeau plat protégé par des ardoises la ceinture aux deux tiers de sa hauteur. Hélas la toiture ne sera bientôt plus qu'un souvenir et ne protège déjà plus ses trois travées de boulins intacts, chacune séparée de l'autre par un cordon d'appui. Un bel ensemble de communs au nord, groupe deux corps de bâtiments autour d'une cour intérieure. La ferme toute proche forme aujourd'hui une propriété distincte.

Éléments protégés MH : les façades et les toitures ; la salle du rez-de-chaussée garnie de boiseries, avec son plafond peint et sa cheminée de pierre ; la fuye ; la porte Nord : inscription par arrêté du 21 octobre 1947. (1)

château du Paradis 37150 La Croix-en-Touraine, propose la location de chambres d'hôtes.

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(1) 
        source :  https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/

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