châteaux de France
       Accueil        châteaux Val de Loire        châteaux pour réceptions        châteaux à l'abandon        Contact        Liens
 
 
 
Donjon et château de Loches (Indre-et-Loire)
 
 

  La forteresse de Loches est particulièrement impressionnante avec son donjon rectangulaire de près de 40 mètres de hauteur qui en fait l'un des plus hauts donjons encore en place et ses contreforts hémi cylindriques. Une analyse a permis de dater avec précision la date de la construction (1013-1035) et de l'attribuer à Foulques Nerra comte d'Anjou, qui bâtira une douzaine de donjons dans la région. La forteresse devient anglaise avec l'avènement des Plantagenêts sur le trône d'Angleterre : Henri II Plantagenêt y ajoute l'enceinte en 1154, dans le cadre de son conflit avec son père, Richard Coeur de Lion s'empare du Château avec l'aide de Philippe Auguste. Profitant de la captivité de Richard Coeur de Lion au retour de la troisième Croisade, le traité de Mantes conclu en 1193 avec Jean sans Terre, confie la place à Philippe Auguste. Un an plus tard Richard Coeur de Lion assiège le castrum et le contrôle après seulement trois heures de combat ! Philippe Auguste s'empare ensuite du château de Loches en 1205, après un siège qui durera une année, la forteresse restera désormais sous contrôle français (les anglais assiégeront en vain le château durant la guerre de Cent Ans). Charles VII y reçoit régulièrement sa favorite, Agnès Sorel. Le tombeau de la première maîtresse Royale officielle est conservé dans la Tour de la Belle Agnès. C'est également à Loches, en 1429, que Charles VII reçoit Jeanne d'Arc, quelques jours après que cette dernière ait repris la ville d'Orléans aux anglais, (une entrevue avait eu lieu à Chinon deux mois auparavant). Celle-ci l'incite à se rendre à Reims pour recevoir le sacre. Le donjon sert de prison d'Etat et le roi y installe ses fameuses cages de fer, appelées fillettes, qui doivent leur nom à leur extrême exiguïté. On citera parmi les prisonniers de marque qui y ont été enfermés, le duc de Milan et un ministre de Louis XI, puis le cardinal de la Balue, inventeur des fillettes. Jusqu’en 1924, le château de Loches garde sa fonction carcérale, permettant indirectement le maintien du site en état, au début du XXe siècle, sous la surveillance d’un gardien amateur d’archéologie, les prisonniers dégagent une partie des souterrains au sud de l’enceinte.
Le donjon de Loches peut se diviser en quatre parties principales, qui sont: la tour Carrée; la tour Ronde; la tour du Martelet; les fortifications. La tour Carrée, ou vieux donjon, a été construite sur l'emplacement d'une ancienne forteresse romaine. Elle date du XIe siècle, sous Foulques Nerra, comte d'Anjou, et a été brûlée sous Charles VII pendant la guerre franco-anglaise, appelée guerre de Cent ans. Indépendamment des contreforts semi-circulaires qui garnissent les murs, ceux-ci n'ont pas moins de 3 mètres d'épaisseur à la base et 1,80 mètre au sommet. On remarque environ, aux quatre cinquièmes de la hauteur, une rangée de trous dans lesquels paraissent avoir été engagées des pièces de bois supportant un balcon qui devait servir à préparer une réserve de matériaux ou de projectiles quelconques en cas d'attaque. Pendant la Révolution de 1793, on a dégradé les murs du donjon en enlevant les pierres de revêtement pour en extraire le salpêtre nécessaire à la fabrication des poudres de guerre. A l'intérieur de la tour, on remarque un puits, au fond duquel se trouvait un souterrain de ravitaillement, qui communiquait avec tous les anciens châteaux féodaux des environs. Des meules gallo-romaines, découvertes dans les fouilles du puits, servaient à moudre le grain nécessaire à la consommation des gens de guerre. Elles étaient tournées, à l'époque, par des esclaves, au moyen d'un levier en bois qui s'engageait dans un pivot scellé dans l'axe de la meule. La hauteur totale, soit 44 mètres, était divisée en trois étages par trois planchers différents. Le premier était voûté en pierres et soutenu, dans le sens de la longueur, par une traverse maçonnée dont on voit encore la principale partie.
Les deux étages suivants devaient se composer de forts madriers juxtaposés, dont l'une des deux extrémités reposait sur une saillie pratiquée dans les murs, tandis que l'autre était soutenue par une solive, maintenue par des piliers scellés à la voûte du premier étage. On accédait dans chacune de ces trois pièces par un escalier tournant, pratiqué dans l'épaisseur des murs. Elles étaient éclairées par des fenêtres toutes très évasées à l'intérieur, tandis qu'elles n'offraient à l'extérieur qu'une étroite ouverture, ce qui porte à croire qu'elles devaient servir de meurtrières,en cas de besoin. On remarque également trois cheminées superposées, pratiquées à l'intérieur du mur sud-ouest, ainsi que de nombreuses ouvertures remaniées postérieurement, dont plusieurs sont commandées par de très petites plates-formes où se tenaient les sentinelles chargées de donner l'alarme en cas de surprise. Une deuxième tour, appelée petit donjon, juxtaposée contre la première, servait de résidence au gouverneur et à l'aumônier. La première pièce de cette tour était desservie par un escalier en pierre, dont les marches reposaient sur un double mur dans lequel étaient pratiquées des arcades voûtées. Cet escalier, qui était éclairé par de très petites fenêtres construites de chaque côté des cheminées, se terminait près d'une porte correspondant au premier étage de la grande tour. Au deuxième étage, se voient l'emplacement d'une ancienne chapelle appelée Saint-Salboeuf et les vestiges d'un ancien autel. Le troisième étage a été démoli à une époque inconnue. Le rez-de-chaussée du grand et du petit donjon servait de magasins.
La tour Ronde date du XVe siècle, sous Louis XI. On y accédait par un escalier extérieur, dont on aperçoit encore aujourd'hui quelques vestiges. Cet escalier conduisait sur le chemin de ronde du rempart qui traversait une vaste salle où étaient concentrés les hommes de garde. L'approche de cette salle était défendue par une double porte en bois, garnie de fortes lames de fer, puis par des trous de loup que l'on tra vesait au moyen d'un pont-levis à flèche. On y lit l'inscription suivante: Le 13e jour de janvier monsieur d'Epernon mourut; 1642. Dans les fondations de cette tour, au milieu d'un noir cachot, desservi par un escalier de quarante-trois marches, interrompu par un corps de garde, était suspendue la cage de fer à l'intérieur de laquelle le cardinal La Balue, qui en était l'inventeur, fut enfermé pendant onze ans, pour avoir conspiré avec Charles le Téméraire. On remarque, à droite en descendant, l'entrée d'un souterrain qui communiquait avec les appartements du roi et par lequel Louis XI et son compère Tristan venaient visiter le cardinal pour le narguer. Les murs de ce cachot ont conservés les deux trous parallèles où étaient engagées les deux extrémités d'une traverse de bois, à laquelle était fixée la partie supérieure de la cage, tandis que la base reposait sur un pivot. Un anneau de fer, scellé au sommet d'une voûte située au-dessus de la porte d'entrée du cachot, servait à déplacer la cage, mesurant à peine quelques pieds carrés, de manière à ce qu'un homme ne puisse s'y tenir debout ni couché. Il est regrettable qu'elle n'existe plus, car ce serait une curiosité de plus à montrer aux nombreux visiteurs de ces sombres demeures. Après avoir longé un petit couloir, on arrive à la chambre des tortures, où était appliquée la question ordinaire et extraordinaire. On y remarque une barre de fer ronde de munie d'anneaux à boucles et maintenue, dans le sens de la longueur, par trois bornes en pierre scellées assez profondément dans la terre. La question ordinaire consistait à maintenir les accusés couchés sur le dos, les pieds serrés dans les anneaux que porte la barre de fer, appelée aussi barre de la Justice, jusqu'à ce qu'ils eussent avoué leur crime. La question extraordinaire était appliquée à ceux des accusés que les tortures précitées ne contraignaient pas à faire des aveux. Elle consistait à faire bouillir de l'huile et de la poix mêlées de plomb fondu, de cire et de soufre, dont le mélange était ensuite versé tout bouillant dans les plaies des malheureux qui avaient eu, au préalable, les seins ou les côtes tenaillés avec des tenailles rougies au feu.
Il y a, dans cette chambre, une vaste cheminée qui était appropriée à celte repoussante besogne. Tels étaient, en quelque sorte, le triste mobilier et la destination de cette lugubre chambre. A gauche de l'entrée de cette chambre, se trouve un escalier de cent six marches, qui conduit sur le haut de la tour et d'où l'on découvre un magnifique panorama s'étendant à perte de vue dans toutes les directions. Cette tour, dont la plate-forme recevait de l'artillerie, est garnie de mâchicoulis et était couronnée d'un mur crénelé, comme toutes les autres de la ville. Cet escalier dessert toutes les chambres de la tour. Parmi celles-ci on distingue la salie d'armes des gardes de l'époque, dont les murs sont ornés de gravures représentant dés soldats tirant de l'arme et coiffés du chapeau Henri III; la Chambre où fut enfermé le duc d'Alençon, parent de Louis XI, où se voit un vaisseau dessiné par les prisonniers de la première Révolution. Les vastes cheminées de ces chambres élégamment construites devront également attirer l'attention du visiteur; En 1815, s'est écroulé un corps de bâtiment, connu sous le nom d'ancienne Chapelle. Les murs intérieurs ont conservé un tableau en forme d'hiéroglyphes, représentant Louis XI à genoux sur un tabouret, les mains jointes, accompagné par trois rangées d'évêques successives dans une procession. Un mur d'enceinte, dans le prolongement duquel se trouve percée la porte de l'entrée actuelle, relie entre eux deux corps de bâtiments, dont l'un, appuyé contre la petite tour du grand donjon, comprend, au premier étage, un ancien corps de garde dans lequel on remarque les lits de camp de là garde écossaise de Louis XI, un collier de force ou carcan, pesant 8 kilogrammes, qui s'adaptait au cou des prisonniers d'État; une cage formant cloison, où fut enfermé, sous Charles VIII, et pendant huit mois, Philippe de Comines, historien de Louis XI. Le deuxième étage se compose d'une ancienne salle des gardes sans caractères historiques. Au rez-de-chaussée, se trouvait une ancienne entrée, qui était défendue par un énorme pont-levis, dont on voit encore l'emplacement pratiqué dans un mur. De chaque côté de cette entrée, on remarque deux casemates collatérales, armées de meurtrières où se tenaient les soldats chargés de la manoeuvre du pont-levis, ainsi que de veiller à la garde du donjon. On y lit l'inscription suivante: "De Quenouilers, 1454". L'autre corps de bâtiment, contigu à la tour ronde, dont le remaniement a fait disparaître les caractères historiques, sert aujourd'hui de logement au gardien du donjon.
La tour du Martelet, dont la plus grande partie s'est écroulée dans le courant du XVIIIe siècle, date de la même époque que la tour ronde. Elle comprend, dans ses soubassements, divers cachots desservis par un escalier en colimaçon, de 96 marches, privé de plus en plus d'air et de lumière au fur et à mesure que l'on s'enfonce dans les profondeurs du rocher. Les deux premières salles sont affectées à l'emprisonnement des prisonniers de l'arrondissement et n'offrent aucune curiosité. Dans le premier cachot, fut en fermé, pendant dix ans, Ludovic Sforza, dit le Maure, duc de Milan, fait prisonnier sous Louis XII à la bataille de Novare (Italie), par le général La Trêfnouille, en l'an 1500. Pendant sa longue captivité, qui dura dix ans et à la suite de laquelle il mourut en 1510, ce prince s'est plu à embellir les murs de son cachot de peintures et de gravures, de manière adonner à sa triste demeure un caractère plus gai. Ce cachot est éclairé par une faible lumière, qui pénètre par une petite fenêtre, doublement grillée, pratiquée dans un mur de 4 mètres d'épaisseur. En face de cette fenêtre, Ludovic Sforza avait gravé, assez profondément dans le mur, un cadran solaire qui lui permettait de reconnaître l'heure dans la journée. Dans le second cachot furent en fermés, sous François 1er, le comte de Saint-Vallier, père de Diane de Poitiers; les évêques du Puy et d'Autun, de Chabannes et Guillemet, impliqués dans l'affaire qui entraîna la fuite du connétable de Bourbon. De Saint-Vallier, après avoir été condamné à la peine capitale, reçut sa grâce le 17 février 1524. Ce cachot est encore beaucoup plus triste que le premier, car la lumière ne pénètre faiblement par une étroite lucarne, en face de laquelle on remarque l'autel où les évêques disaient leur messe, entouré d'un chemin de croix avec l'inscription suivante qui représente les nom et prénom d'un officier écossais de la garde de Louis XI: Ebnezer Kelburn.
A gauche de cet autel, se trouvent l'emplacement des burettes et plu sieurs trous où étaient scellés des instruments de supplice, tels que les colliers de force, etc. Une autre ouverture donne accès dans un réduit taillé dans le roc qui présente, à gauche en entrant, un puits que plusieurs personnes prétendent être une oubliette. Devant la difficulté des conjectures, il n'est pas permis de contester cette manière de voir. Les portes massives de ces deux cachots sont curieuses à observer avec leurs anciennes ferrures. Les verrous sont en fer forgé ainsi que leurs poignées à pitons, qui s'engagent dans des serrures pratiquées dans l'épaisseur du bois des portes. En descendant encore, on arrive à la partie des oubliettes qui se compose de galeries souterraines creusées dans le rocher. Cette partie est la plus horrible de ces tristes demeures de la nuit, où existaient trois de ces fosses banales attendant, toujours béantes, quelques victimes. Elles traversaient, de fond en comble, la paroi supérieure qui servait de pierre tombale à une multitude de cadavres et aboutissaient dans des salles situées dans le haut de la tour, dont le plancher se composait d'une trappe à bascule. On y lit une inscription assez intéressante, qui se trouve à l'angle formé par le mur, et une partie du rocher, à gauche, en entrant: "Sous peu, nous détruirons ces hautes murailles, briserons ces chaînes et ferons disparaître ces tortures inventées par les rois, trop faibles pour arrêter un peuple qui veut la liberté, 1785". Voici un fait authentique qui prouve combien ces prisons étaient redoutables.
Les fortifications comprenaient une double enceinte, composée de deux lignes. La première était formée d'un mur, au pied duquel se trouvait un fossé rempli d'eau, qui isolait le donjon de toutes parts. La seconde ligne, établie postérieurement, comprenait un fossé de 25 mètres de profondeur et des bastions flanqués de tours rondes et de tours-à-becs, construits sous Philippe-Auguste. Sur le haut des bastions se trouvait un chemin de ronde de 2 kilomètres de circuit, que protégeait un double mur crénelé. Chacune des tours comprenait plusieurs corps de garde superposés, présentant de nombreuses meurtrières qui permettaient aux assiégés de couvrir de leurs feux une assez grande étendue de terrain. Bien qu'elles se soient écroulées en divers endroits, il en reste encore la plus grande partie, que l'on voit telle qu'elle existait à l'époque. De nombreuses traces de projectiles, évoquant les tristes souvenirs des vicissitudes humaines, couvrent ces vieilles murailles, noircies par le temps. Entre les deux principales tours des fortifications furent construits, par les ordres du duc d'Épernon, alors gouverneur du château, deux piliers, dont un subsiste encore, ainsi qu'une porte appelée porte de la Reine. Cette porte fut faite en vue de cacher l'arrivée de Marie de Médicis, qui s'était réfugiée au donjon de Loches, après s'être évadée du château de Blois, le 21 février 1619.

Le château de Loches comprend l'ancien palais royal où ont demeuré les rois Charles VII, Louis XI, Charles VIII et Louis XII. Les appartements sont occupés par la sous-préfecture depuis la Révolution de 1793, à l'exception d'un corps de bâtiment où se voient l'oratoire d'Anne de Bretagne et le tom beau d'Agnès Sorel. Dans l'oratoire à l'usage d'Anne de Bretagne, on remarque un semblant d'autel, ainsi que des cordelières autour des fenêtres, considérées comme symbole du veuvage; en outre, les murs sont ornés de sculptures aux armes des ducs de Bretagne. La tour d'Agnès Sorel, dans la quelle se trouve son tombeau, aurait été, d'après la légende, habitée par elle et servait à Charles VII pour y enfermer sa belle lorsqu'il allait chasser dans la forêt. Le tombeau d'Agnès, en marbre noir, est orné de sa statue et de plusieurs autres sculptures en marbre blanc. Elle est représentée couchée, les mains jointes, la tête soutenue par deux anges et les pieds appuyés sur deux agneaux, Autour du marbre, qui couvre le tombeau, se lit l'inscription suivante: "Ci gist noble damoyselle Agnès Seurelle, en son vivant dame de Beauté, de Roquesserie, d'Issoudun et de Vernon-sur-Seine, pieulse envers toutes gens et qui largement donnait de son bien aux églises et aux pauvres, laquelle trespassa le neuvième jour de février, l'an de grâce mil quatre cent quarante-neuf. Priez Dieu pour l'âme d'elle". Un marronnier gigantesque, trois ou quatre fois séculaire, se dresse sur la terrasse de la sous-préfecture et aurait été, d'après la légende, planté par les ordres de François 1er. La porte du château, dont l'approche était défendue par un pont-levis à bascule, présente le même système de construction que la tour ronde du donjon. Elle disposait de soubassements connus aujourd'hui sous le nom de poudrières, ainsi que de deux corps de garde au rez-de-chaussée et plusieurs étages, dont les murs sont percés en partie de meurtrières. (1)

Éléments protégés MH : le château de Loches : classement par liste de 1862. La porte de l'enceinte du château : classement par arrêté du 12 juillet 1886. L'ancien palais royal (logis royal) : classement par liste de 1889. La partie d'enceinte Nord-Ouest dominant la rue des Fossés-Saint-Ours et reliant la porte principale du château à la base du logis royal au Nord : inscription par arrêté du 8 août 1962 (2)

château de Loches 37600 Loches, tél. 02 47 59 07 86 - Fax. 02 47 59 01 36. Ouvert au public tous les jours du 1er avril au 30 septembre de 9h à 19h et du 1er octobre au 31 mars de 9h 30 à 17h.


Ce site recense tous les châteaux de France, si vous possédez des documents concernant ce château (architecture, historique, photos) ou si vous constatez une erreur, contactez nous. Licence photo©webmaster B-E, photos ci-dessous interdites à la publication sur Internet, pour un autre usage nous demander. Nous remercions chaleureusement Monsieur Vincent Tournaire du site http://webtournaire.com/paramoteurparapente.htm, pour les photos aériennes qu'il nous a adressées (photos interdites à la publication)
A voir sur cette page "châteaux d'Indre-et-Loire" tous les châteaux répertoriés à ce jour dans ce département.

 
 
 
 
chateau de loches logis royal forteresse de loches donjon de loches
 
chateau de Loches chateau royal Loches chateau de Loches  chateau royal de Loches
 
 
chateau de Loches  forteresse de Loches
 
chateau royal de Loches chateau de Loches chateau Royal de Loches 
 
 
 


(1)       Notice sur le Donjon de Loches, Imprimerie Deslis Frères, Tours (1893)
(2)  
     source :  https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/

Sur ce site, tous les châteaux, châteaux forts, manoirs, maisons-fortes, ruines et vestiges importants, chateau hôtel-restaurant, chateaux avec chambres d'hôtes, gîtes, et les châteaux avec salles pour réceptions, vous trouverez la liste de tous les départements en page d'Accueil, mais également une page réservée aux châteaux à l'abandon, en péril, et les châteaux du val de Loire nous avons recensés aussi les châteaux dans les pays francophones, Suisse, Belgique et Grand Duché du Luxembourg voir châteaux Étrangers, et également les châteaux dans des bourgs classés parmi les plus beaux villages de France.

 
(IMH) = château inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, (MH) = château classé Monument Historique
Nos sources proviennent à 60% de la base Mérimée, culture.gouv.fr/culture/inventaire/patrimoine, que nous remercions vivement
Copyright ©chateauxdefrance@orange.fr     Tous droits réservés.