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Château de Cornillon à Saint-Paul-en-Cornillon
 
 

    Sur un rocher énorme, qui se dresse à pic, redoutable et menaçant, et dont la Loire baigne les pieds, est construit le château de Cornillon. De sa première enceinte flanquée de tours on ne retrouve que d’insignifiants vestiges, mais la porte des charrettes qui y donnait accès subsiste toujours. La seconde enceinte, encore visible, protégeait la grande porte du château, au-delà de laquelle un large passage conduit jusqu’au portail carré, reconstruit au temps de la Renaissance et surmonté des armes des de Laire. On arrive par deux couloirs que sépare une petite cour rectangulaire à la cour intérieure du vieux manoir. A droite est la citerne qui s’étend sous une partie des appartements et des cours qui l’avoisinent. En face, une petite porte conduit à la cuisine et aux salles basses, ornées de cheminées monumentales d’un style assez sobre. C’est la partie la plus ancienne du château. A gauche est la porte de la montée principale, qui fut reconstruite par Jacques de Laire au début du XVIe siècle. Cette porte ornée de riches moulures et d’élégants clochetons est d’une grâce incomparable. Elle donne accès dans une tourelle hexagonale qui abrite l’escalier. Les appartements de cette demeure sont vastes, richement et somptueusement meublés. La salle à manger actuelle est au premier étage, elle est ornée d’une cheminée aux fines ciselures, que soutiennent deux superbes cariatides, et qui provient du château de Saint-Chamond. Tout à côté est l’ancienne salle des festins, aujourd’hui le grand salon, où l’on remarque des boiseries aux armes des Jacquier et plusieurs tableaux dont un représente Madame de Riverie. Dans une chambre voisine on remarque des boiseries et des sièges provenant de l’ancienne salle de justice, un coffre-fort en fer dont chaque compartiment est orné de délicates peintures et un pierrier en fer battu qui dut servir jadis à la défense et paraît dater du XVIe siècle. A droite et au fond du grand salon s’ouvre une porte basse qui conduit dans les chambres à coucher. Dans la salle des seigneurs se trouve une magnifique tapisserie en cuir de Cordoue qui date de Louis XIII. La cheminée gothique est aux armes des Grimod de Rénéon. Un bahut a son fronton orné d’une vierge vénérée par deux anges. La grande fenêtre est flanquée de deux sièges de pierre que l’on recouvrait naguère de coussins de plume. Près de là, un meuble italien aux fines incrustations d’ébène et d’ivoire dissimule une série de cachettes et de cloisons intérieures.

Dans la chambre des Chinois, ainsi nommée à cause de sa tapisserie, on voit encore une commode et un bureau à ventres rebondis et pieds de biche. La chambre bleue, style Louis XV, voisine de la salle des seigneurs, renferme un lit et des sièges tissés avec une seule robe Pompadour. Deux panneaux de tapisserie d'Aubusson, représentant le jeu et la danse, décorent une partie des murs. Le côté de la chambre où s’ouvre la fenêtre est orné de peintures du début du XVIe siècle, où les vices sont personnifiés par des animaux symboliques: un coq, un cygne, un paon. Au-dessus de la fenêtre on lit: "Loyaulté, Vertus", au-dessus des deux portes de la pièce, des cartouches portent des paysages de l’école du Poussin. Une chambre voisine est chargée d’une tapisserie en point de Venise du XVIIe siècle. Des fenêtres à croisillons éclairent ces appartements, deux croisillons portent encore les armes des de Laire peintes sur verre. Un corridor conduit à l’aile nord du château, en façade sur la Loire. La seule pièce habitable, la chambre rouge, a 14 mètres de longueur, deux fenêtres l’éclairent. A la suite sont deux grandes salles vides qui formaient jadis trois salles de justice. A l’extrémité de la salle du fond, une fenêtre s’ouvre sur la Loire que l’on domine à pic d’une hauteur de 130 mètres. A cette pièce est adjointe une petite salle voûtée creusée dans le rocher qui communique par un puits étroit avec une autre pièce de même dimension, située au-dessous et sans autre issue; elles ont dû servir de cachots. Quant au donjon auquel conduit le grand escalier et dont les murailles sont encore debout de deux côtés, il se composait d’une pièce basse et d’un premier étage, surmonté d’une toiture à pignon aigu. Dans la salle du rez-de-chaussée, appelée à juste titre Beauregard, se voit encore, creusée dans le sol, l’ouverture du puits par lequel les hommes d’armes communiquaient avec le reste du château sans sortir du donjon.

Les premiers seigneurs de Cornillon paraissent être les de Lavieu, dont héritèrent les de Jarez qui le portèrent dans la deuxième moitié du XIIe siècle aux Beaudiner. Guillaume de Beaudiner vivait au début du XIIIe siècle, il accorda une charte de franchises aux habitants de Cornillon et de Saint-Paul, et mourut en 1243. De Béatrix de Jarez il eut un fils, Aymard de Beaudiner, qui confirma et amplifia la charte accordée par son père. Aymard fut père de Guillaume de Beaudiner qui ratifia la charte de Cornillon en novembre 1279. Il mourut avant le 20 septembre 1302, laissant ses biens à une fille unique, Luce de Beaudiner. Elle prêta, hommage au comte de Forez en 1315, et le reçut de ses vassaux, notamment de Perronet de Villeneuve, Armand de la Rochain, Dalmace Girin, Gillet d’Ecotay. Le 19 septembre 1331, elle fonda l’abbaye de Chazeaux. Le 14 août 1337, elle fit son testament et mourut deux mois après. Selon son désir, elle fut enterrée dans la chapelle de l’abbaye de Chazeaux où son tombeau se voyait encore il y a quelques années. Elle laissait cinq enfants dont Guillaume; 2° Alix, femme d’Etienne de Vissac, seigneur d’Ariane; 3° Béatrix, mariée en 1310 à Jean Bastet, seigneur de Crussol; 4° Florie, mariée à Jean Pagan d’Argentai; 5° Alixent, mariée à Marquis, seigneur de Canillac. Guillaume de Poitiers, chevalier, seigneur de Cornillon, baron de Beaudiner et Montregard, hérita de tous les biens de sa mère, à la charge de joindre ses armes à celles des Beaudiner. Le 3 juillet 1340, Gilles d’Ecotay, son châtelain passe une réquisition à André, abbé de l’Ile-Barbe et Hugues de Varennes, prieur de Firminy, pour l’hommage qu’ils devaient au seigneur de Cornillon, chargé de la garde militaire de Firminy. Guillaume de Poitiers, qui portait d’azur à six besants d’argent 3, 2, 1; au chef d’or, mourut jeune, sans enfants de Walpurge de Graignac.

Peut-être était-ce sa seconde femme, et Guillaume s’identifie-t-il avec ce Guillaume de Beaudiner, marié le 17 novembre 1321, à Sibille de Solignac, fille de Béraud, seigneur d’Aurec et d’Oriol. Par substitution insérée dans le testament de sa mère, Béatrix de Poitiers, épouse de Jean Bastet de Crussol, devint dame de Cornillon. La famille de Crussol tirait son nom du manoir de ce nom, situé en Vivarais, sur les bords du Rhône. En 1343, Jean de Crussol et sa femme vendent au comte Guy VII la moitié du château de Saint-Germain-Laval et ce qu’ils possèdent au mandement de Saint-Just-en-Chevalet. Le comte leur cède en compensation le tènement de la Tuilerie au mandement de Saint-Victor. Jean de Crussol testa le 13 mai 1347 et laissa deux fils qui furent successivement seigneurs de Cornillon. Géraud Bastet, l’aîné, seigneur de Crussol et de Cornillon, fit avec Gérenton de Solignac, seigneur d’Aurec et d’Oriol, une incursion sur les terres de Josserand, seigneur de Saint-Didier et dut solliciter des lettres de rémission qu’il obtint le 27 septembre 1350. Guillaume Bastet, le cadet, seigneur de Crussol, Beaudiner et Cornillon, ratifia les donations faites à l’abbaye de Chazeaux par son aïeule. Il épousa le 2 juillet 1353 Humilie de Châteauneuf, fille d’Audebert. L’illustre maison de Crussol, dont les armes sont fascé d’or et de sinople de 6 pièces, ne devait pas se perpétuer en Forez. Guillaume vendit, en effet, Cornillon à Bernard de Laire, fils d’Etienne de Laire. Il lui en passa, le 21 août 1367, quittance définitive. Bernard laissa ses biens à son fils, Robert de Laire, seigneur de Cornillon et Grigny, marié à Jeanne de Cassinel, dont il eut trois enfants. L’un d’eux, Rodolphe, dit Raolet, épousa le 19 juillet 1397, dans l’église de Cornillon, Béatrix de Balzac, dame de Cuzieu, et fut la tige des de Laire-Cuzieu. L’aîné, Jean de Laire, baron de Cornillon, seigneur de Grigny, épousa Marguerite de Montagny. Leur fils, Guillaume de Laire, guerroya dès sa jeunesse contre les Anglais, il fut nommé en 1407 Gouverneur du Dauphiné.

Guillaume fut père de Jean de Laire, seigneur de Cornillon, la Motte et Grigny, dont la pierre tombale et celle de Marie de Brionne, sa femme, se voient encore dans la sacristie de l’église actuelle de Cornillon. Les deux époux eurent cinq enfants. L’aîné, Guillaume II de Laire, épousa Jeanne d’Albon, fille de Guichard, seigneur de Saint André, mais n’en eut pas d’enfants. Le cadet, Jacques de Laire, devint ainsi seigneur de Cornillon. Leur sœur, Gabrielle, était abbesse de Chazeaux. Jacques mourut avant le 12 décembre 1520, ayant doté Cornillon de la plupart des merveilles que l’on y admire aujourd’hui. Il avait épousé Antoinette de Tournon fille de Jacques et de Jeanne de Polignac, dont deux enfants dont Gaspard de Laire, qui testa le 6 juin 1529 et mourut jeune; et Suzanne, qui hérita de Cornillon. Les armes des de Laire sont d’argent au lion de gueules. Suzanne de Laire épousa, en 1538, Gilbert de Lévis-Ventadour, mort en 1547, à 46 ans, dont Gilbert, comte de Ventadour, baron de Cornillon, marié le 25 juin 1553, en présence du Roi, à Catherine de Montmorency, fille d’Anne, Connétable de France, et de Madeleine de Savoie. Gilbert fut gentilhomme de la Chambre du Roi, Gouverneur du Limousin, Gouverneur du Lyonnais, Forez et Beaujolais, et mourut en 1591. Il eut deux fils dnt Gilbert, qui mourut jeune, et Anne, qui hérita de ses biens. Anne de Lévis, duc de Ventadour, pair de France, comte de la Voulte, baron de Douzenac, Boussac, Annonay, Cornillon, etc, épousa à Alais, le 25 juin 1593, Marguerite de Damville-Montmorency. Il mourut le 3 décembre 1622, laissant quatre fils. L’aîné, Henri de Lévis, duc de Ventadour, baron de Cornillon, obtint la lieutenance générale du Languedoc. N’ayant point d’enfant de Marie-Louise de Luxembourg, princesse de Tingry, sa femme, il quitta le monde avec elle; la princesse prit le voile aux Carmélites de Chambéry, dont elle fonda le monastère, et le duc devint chanoine de Notre Dame de Paris. Il mourut le 14 octobre 1680, à 84 ans.

Par acte du 23 mai 1631, il s’était démis du duché de Ventadour, en faveur de son frère, Charles de Lévis, marquis d’Annonay. Charles de Lévis, le nouveau baron de Cornillon avait épousé, à Paris, le 26 mars 1634, Suzanne de Lauzières, marquise de Thémines, dont il n’eut pas d’enfants. Le 8 février 1645, il épousait, en secondes noces, Marie de la Guiche de Saint-Géran, fille du maréchal de France, dont il eut deux filles et un fils. Ce dernier, Louis-Charles de Lévis-Ventadour, baron d’Annonay et de Cornillon, ne garda pas longtemps la vieille demeure. Cinq ans après son entrée en possession, le 7 octobre 1636, il passait procuration au sieur Martial Geofre pour vendre la terre et baronnie de Cornillon à dame Claude de Fay, veuve de messire Claude de Villars, pour la somme de 66.000 livres. Lévis-Ventadour porte écartelé aux 1er et 4e d’or à trois chevrons de sable, aux 2e et 3e échiqueté d’or et de gueules. Après dame Claude de Fay, la baronnie passa à Jean de Fay, seigneur de Paulin et Cornillon. Cette famille portait de gueules à trois fleurs de lys d’or, parti échiqueté d’argent et de sable. Vingt-deux ans après la terre de Cornillon était de nouveau vendue à la requête des nombreux créanciers de Jean de Fay. Le 1er juin 1677, elle était adjugée pour le prix de 90.000 livres et 80 pistoles d’étrennes, à Charles de Nérestang, seigneur de Saint-Didier, Aurec et Oriol. Poursuivi par ses créanciers, le nouvel acquéreur qui n’avait pas payé Cornillon, dut le restituer, le 22 octobre 1685, à Claudine et Françoise de Fay, héritières de Jean. Le 16 janvier 1686, ces dernières revendaient Cornillon, pour 46.000 livres à Jacques Jacquier et Jean Bernou. Ce dernier renonça à son acquisition le 26 février 1686. Jacques Jacquier, secrétaire du Roi, baron de Cornillon, mourut en 1693. De Catherine de la Farge, fille de Jean et de Marguerite Dumarest, il eut plusieurs filles dont Marie, mariée à François Yon de Jonage; Jeanne, mariée à Louis Punctis; Antoinette, mariée à François de Giry de Vaux, et Françoise, qui s’unit à Jean-Claude Grimod-Bénéon de Riverie, et un fils Jean-Jacques Jacquier, baron de Cornillon, marié à Catherine Bernou, dont il n’eut pas d’enfants.

Le 14 juin 1724, il testait en faveur de sa sœur Françoise. Les armes des Jacquier sont d’azur à la fasce d'argent chargée de trois corneilles de sable. Françoise Jacquier, veuve de Jean-Claude Grimod-Bénéon, seigneur de Riverie, vint s’établir à Cornillon et y finit ses jours. Elle eut quatre enfants: Jean-Etienne; Jean-Jacques, mort en 1761; Marguerite, baptisée le 30 janvier 1687, mariée à Jean-Baptiste Dilbert, fils de Pierre et de Marie Henri; Claudine, mariée le 8 avril 1717 à Gaspard de Vincent, fils de François et de Françoise Regnou. Jean-Etienne Grimod Bénéon de Châtelus, baron de Cornillon, épousa Jeanne-Claudine de Beaulieu de Gourville dont un fils François-Jean-Jacques Grimod de Bénéon, baron de Cornillon, né le 18 novembre 1733, marié le 10 décembre 1761 à Jeanne-Marie-Laurence Dugas, fille de Louis et de Marie-Louise-Josèphe Laurent. Il renouvela, en 1765, les ordonnances de police du mandement de Cornillon. Le 15 février 1775, il vendait à Jean-Raptiste-Michel de Charpin-Feugerolles une partie des terres dépendant de la baronnie. Enfin, le 5 avril 1789, il vendit la terre et le château de Cornillon à Clément Palle, négociant du Chambon. Le dernier baron de Cornillon mourut à Lyon, le 6 avril 1792, ayant eu trois enfants dont Jacques-Louis-Claude, né le 6 avril 1764, mort le 3 septembre; 2° Etiennette, née le 10 septembre 1762, mariée le 25 février 1783 à Pierre de Montherot de Belligneux, fils de Pierre et de Jeanne-Sybille de Lamartine; 3° Claudine-Françoise, mariée le 14 août 1792 à Gaspard-Marie du Boys, fils de Gaspard et de Françoise Belluart. Rénéon porte d’azur à la fasce d’argent, accompagnée de trois étoiles d’or, 2 et 1. En 1791, Clément Palle revendait Cornillon à Jean-Armand Bayon, originaire de Corse, où, en 1420, Pierre Bayon délivra Calvi, sa patrie, de la domination espagnole, et d’où il fut expulsée à la suite des troubles qui ensanglantèrent cette île à la fin du XVe siècle.

Cette famille Bayon émigra en France où elle forma plusieurs branches, dont l’une, fixée à Marseille, fut illustrée par la vaillance de Pierre Bayon de Libertat qui, en 1596, contribua à faire rentrer cette ville sous l’autorité d’Henri IV. Une autre branche se fixa dans le Forez, où, le 10 août 1566, Gabriel Bayon fit une reconnaissance de ses terres du mas de Bayon en faveur de Guillaume de Joyeuse, baron de Saint-Didier. A la fin du XVIIIe siècle, Jean-Armand Bayon, né en 1738, acquit, nous l’avons vu, Cor nillon. Son fils, Armand Bayon, restaura la vieille demeure, il fut un jurisconsulte distingué et juge au tribunal de Saint-Etienne sous la Restauration, puis chevalier de la Légion d’honneur, président de la Société d’Agriculture de la Loire, auteur de plusieurs ouvrages de droit. Il eut trois fils dont Adrien (1816-1904), avocat, marié en 1853 à Caroline de Noyers de Sauvage du Roure, fille de Charles et de Laure de Vaublanc, d’où il eut trois enfants Xavier, capitaine de dragons, marié à Elisabeth Girard, dont postérité; Henri, capitaine de chasseurs d’Afrique, marié à Marie-Antoinette Burel, héritier de son oncle René de Noyers de Sauvage du Roure, à la charge de prendre son nom et ses armes, d’où postérité Léon, avocat, marié à Marcelle Gilles, d’où postérité: 2° Ernest, marié en Belgique à Zoé Bertolin; 3° André-Léon, 1818, marié en 1852 à Cécile de Goys de Mezeyrac, fille du vicomte Charles et de Zoé de Colomb de la Tour de Beauzac, d’où Charles, marié en 1879 à Clotilde Bertrand de Doue, légataire de son cousin, le baron de Colomb de la Tour de Beauzac, à la charge d’ajouter à son nom celui de Colomb de la Tour et d’écarteler ses armes de celles du testateur, d’où Elisabeth, mariée au lieutenant vicomte de Faramond de la Fara mondie; Paul; Marthe; Armand, marié à Marie de Brye de Vertamy; Joseph; Marie, mariée à Louis de Montlahuc. Les armes des Bayon sont d'azur au lion passant d'argent, surmonté d'une tour du même. En 1885, la famille Bayon a vendu Cornillon à M. Amédée Durand, avocat, qui a heureusement terminé la restau ration du château. Sa fille a épousé M. Jean Boudoint, maire de Saint-Paul-en-Cornillon, ancien député de la Loire. (1)

Éléments protégés MH : le château, le jardin, les communs, l'enceinte et les parcelles sur lesquelles ils se trouvent : inscription par arrêté du 15 novembre 2007. (2)

château de Cornillon 42240 Saint-Paul-en-Cornillon, propriété privée, ne se visite pas.

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château de Cornillon château de Cornillon  château de Cornillon
 
 
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(1)        Les Châteaux historiques du Forez par Emile Salomon, Imprimerie de Normand, Hennebont, Morbihan (1916-1926)
(2)   
     source :  https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/

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