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Plusieurs familles nobles résident dans le castrum
de Vaillac aux XIIIe et XIVe siècles, dont les Vassal, les Engolème, les del
Castel et peut-être des Vaillac. Raymond de Vassal, mort en 1293, y possède
la moitié de la tour et plusieurs maisons, et ses héritiers reçoivent de
Bertrand tous les droits de justice de la seigneurie en 1312. A la fin du
siècle, par son second mariage, Aigline de Vassal apporte la terre de
Vaillac à Bernard de Rassiols (ou Rassials) ; l'une de leurs petites-filles,
Jeanne, dame de Vaillac et alors veuve d'Augier del Bosc, épouse en 1445
Jean Ricard, décédé en 1456 ; Jeanne rédige son testament en 1490 dans le
château de Vaillac. Leur fils Jean III acquiert sans doute l'entière
seigneurie de Vaillac au début du XVIe siècle : mais si en 1504, Jean,
seigneur de Vaillac, tient la "plupart" du tout en toutes justices, Antoine
del Castel est encore coseigneur de Vaillac, où il possède, avec sa part de
toutes justices, une maison "sans forteresse", avec jardin, colombier et
moulin à vent. Après avoir été marié à Marguerite Hébrard de Saint-Sulpice,
Jean III (décédé en 1535) épouse en 1495 Marguerite d'Aubusson (décédée en
1541). Les Ricard de Gourdon occupent les lieux jusqu'en 1643, puis
délaissent le château ; la seigneurie est vendue en 1700 à Jean-François
Tournier, président à mortier au parlement de Toulouse ; son petit-fils,
Raphaël-Auguste Tournier de Vaillac, est guillotiné en 1794, et le château
passe alors à sa nièce, puis par son mariage en 1831 aux d'Antin.
Du castrum subsiste la tour mentionnée au XIIIe siècle et devenue le clocher
de l'église peut-être dès le XVIe siècle : de plan carré, avec un premier
niveau qui était voûté en berceau, elle ne présentait que d'étroites fentes
de jour et, au dernier niveau, une fenêtre à arc trilobé. La construction du
nouveau logis seigneurial, sans doute du fait de l'archaïsme du parti
architectural et de la modénature, est supposée avoir été entreprise peu
après le milieu du XVe siècle. La porte d'entrée de la tour d'escalier
portent les armes de Ricard et de Rassiols, comme les cheminées qui ornent
les pièces principales du château, à l'exception toutefois de trois d'entre
elles : l'une, dans la chambre nord du second étage est aux seules armes
seules de Rassiols ; les deux autres ajoutent aux armes de Ricard et de
Rassiols, celles d'Aubusson. Elles renvoient donc au plus tôt à l'année
1496, date du mariage de Jean II Ricard et de Marguerite d'Aubusson, décédés
respectivement en 1535 et 1541. Il ressort de ces indices que, contrairement
à l'impression d'ensemble produite, l'édification du logis seigneurial de
Vaillac pourrait être plus tardive qu'on ne l'a estimé ou, du moins, qu'elle
pourrait s'être prolongée dans le temps. L'examen des maçonneries et des
moulurations tend à conforter l'hypothèse. Il est probable que compte tenu
du contexte économique, le chantier du nouveau château n'ait pas été engagé
avant les années 1460, par Jean de Ricard et Jeanne de Rassiols, et achevé
dans les premières décennies du XVIe siècle pour Jean II et Marguerite
d'Aubusson. Le logis a été prolongé au sud-est par un pavillon à
échauguettes dont une porte la date de 1592, tandis qu'une inscription datée
de 1597 rappelle qu'il a été édifié pour Anne de Montbron et Louis de
Ginouillac-Vaillac. A la même époque, un second corps de logis est venu
doubler l'ancien au nord-est, pour permettre, dit-on, au seigneur de Vaillac
de loger une famille devenue trop nombreuse. La même campagne de travaux a
vu la construction du bâtiment des écuries, dont la porte est datée de 1593,
et, semble-t-il, de l'enceinte, à laquelle a été ajoutée dans les premières
décennies du XVIIe siècle, sur son front sud-ouest, un pavillon contenant la
chapelle. Le château de Vaillac domine à distance (200 m environ)
l'ancien castrum constitué autour de l'église paroissiale. Cette
implantation a été expliquée par le souci, de la part des
Ricard-Gourdon-Genouillac, de se dissocier de la bourgade et de la
promiscuité qu'y imposait le régime de coseigneurie. L'édifice s'inscrit
dans une enceinte polygonale, isolée du reste du plateau par un fossé d'une
quinzaine de mètres de largeur. L'enceinte, on peut le supposer, aurait dû
être cantonnée par quatre tours rondes (trois d'entre elles subsistent), un
pavillon carré affecté à la chapelle occupant le cinquième angle du
pentagone. Les écuries, un important bâtiment rectangulaire de près de 60 m
de longueur, occupent la totalité du flanc nord à l'opposé de l'entrée,
entre deux des tours de flanquement. Une tour isolée mais habitable occupe
l'angle sud-ouest. Le logis, isolé au centre de l'enceinte, est établi selon
un plan barlong : un rectangle de 30 sur 8 m environ, lui même cantonné,
comme l'enceinte extérieure, par quatre tours rondes, une cinquième tour
affectée à l'escalier étant adossée à l'une des faces. Conformément à un
modèle assez répandu, le logis de Vaillac comporte trois niveaux sous
combles et sa tour d'escalier, décentrée sur la façade principale,
correspond à un refend de distribution séparant des pièces d'inégale
importance. Le souci d'atténuer le décentrement de la tour a conduit, ici, à
déporter celle-ci par rapport au refend. Vaillac s'écarte toutefois du
modèle par l'importance de ses dimensions (29 x 10 m) qui ont permis de
disposer à chaque niveau d'une troisième pièce, séparée de la travée
centrale par un second mur de refend. Les murs extérieurs sont
particulièrement épais (1,75 m), contrairement à ceux des tours d'angles qui
ne dépassent pas 1,30 m. Le rez-de-chaussée est accessible indirectement,
par la tour d'escalier. Il comprend trois salles voûtées en berceau. La
salle principale occupant le centre de la composition est encadrée par deux
salles de moindres dimensions desservant les tours flanquantes aux
extrémités du bâtiment. Des portes en arc brisé dans des embrasures en
plein-cintre, assuraient le passage d'une pièce à l'autre au centre des
refends. La salle nord-ouest est dotée d'une importante cheminée qui la
désigne comme une ancienne cuisine. Le premier étage comporte une salle
principale et deux chambres. La grande salle commande la chambre sud tandis
que l'escalier offrait un accès indépendant à la chambre nord : chacune des
chambres était équipée d'une cheminée et disposait, dans les appendices
offerts par les tours de flanquement du front ouest, d'un cabinet de
retrait, distinct des latrines rejetées dans les tours du front oriental. Le
deuxième étage reproduit la même disposition et offrait donc une seconde
"grande salle". Deux séries de pièces incluses dans les adjonctions de la
fin du XVIe siècle complètent cette distribution. Parmi elles, il convient
de noter la présence d'un oratoire, attaché à la chambre sud-est du premier
étage.
Dans ce type de château, les tours qui cantonnent le logis assurent un rôle
défensif analogue à celui dévolu normalement aux tours d'une enceinte. Dans
la plupart des cas, les dispositifs défensifs (bouches à feu) sont alors
concentrés en partie basse des tours dont les étages étoffent la
distribution en offrant des cabinets de retrait équipés de latrines.
Organisation de principe, car, à Vaillac, aucune des tours flanquantes n'est
établie sur un programme identique. Ainsi, la tour sud-est, au contact de
l'entrée, dispose-t-elle de ses chambres de défense aux étages sur un
rez-de-chaussée muni d'un unique trou de tir (condamné par une adjonction du
XVIIe siècle). Chaque étage est ici dépourvu de fenêtres mais dotés de
latrines. La tour du nord-est, qui assure la surveillance du plateau, a des
trous de tir et des latrines à tous les niveaux, les trous de tir étant
dirigés vers les contrehauts. La tour nord-ouest, exclusivement
résidentielle, est dépourvue de trous de tir. Au-dessus d'un rez-de-chaussée
aveugle, ses étages sont dotés de plusieurs fenêtres simples. La tour
sud-ouest, conforme au schéma classique dispose de trous de tir au
rez-de-chaussée et de pièces résidentielles éclairées par des croisées
bâtardes aux étages. Elle protégeait l'accès à la tour d'escalier. Cette
tour d'escalier assurait non seulement l'accès et la distribution de
l'édifice mais extériorisait en façade son statut de maison noble. Elle
était investie ici du rôle emblématique dévolu autrefois au grand degré et
au "donjon" ou à la "turris". Chacune des tours dont la hauteur dépassait
celle des logis était couronnée d'une ceinture de mâchicoulis qui n'a été
conservée que sur la seule tour d'escalier. Toutes ont un diamètre semblable
(5,85 m). L'analyse chronologique de la construction du logis doit tenir
compte des restaurations récentes, qui furent plus arbitraires qu'on
pourrait le supposer. La comparaison de l'état actuel avec celui du début et
du milieu du XXe siècle montre par exemple que les fenêtres de la tour
sud-ouest du logis, intactes au début du siècle, puis très endommagées
quelques décennies plus tard, furent restaurées avec une modénature et un
dessin totalement différents de ceux de l'état d'origine. Plusieurs
percements de la façade principale semblent également avoir subi des
réfections totales. Davantage que dans les caractères stylistiques, les
indices susceptibles d'éclairer le phasage de la construction sont donc à
rechercher prioritairement dans les raccords de maçonneries et les
incohérences architecturales.
Dans son ensemble, la partie sud du logis, jusqu'à la base du deuxième
étage, est caractérisée par ses maçonneries de petits moellons régulièrement
assisés. Cette maçonnerie caractéristique se repère également dans la tour
d'escalier jusqu'à l'appui de la deuxième fenêtre. Sur la tour sud-ouest, la
même maçonnerie apparaît jusqu'à hauteur de la traverse de la fenêtre du
deuxième étage. Enfin, à gauche de la tour d'escalier, la maçonnerie de
petits moellons assisés se poursuit à la base de l'édifice jusque dans le
talutage des tours nord. Sur la travée ouest, elle monte jusqu'à hauteur des
traverses de la fenêtre du second étage mais une rupture verticale
l'interrompt brusquement, à 1,50 m environ de la tour d'escalier. Cette
interruption qui semble correspondre à une attente, marque donc assez
nettement les limites d'une première campagne de construction à l'issue de
laquelle seules la partie ouest de l'édifice et la tour d'escalier auraient
été édifiées, et ce, jusqu'à hauteur des parties basses du second étage. Un
changement d'appareil repérable au-dessus de la seconde croisée bâtarde de
la tour d'escalier, marque l'articulation d'une seconde campagne de
construction. La maille de la maçonnerie est désormais plus largement
dimensionnée et composée de moellons équarris, plus soigneusement taillés ou
moins érodés. Cette maçonnerie appareillée se repère sur l'essentiel de la
partie nord du logis et de ses deux tours flanquantes ainsi que sur la
partie de la tour d'escalier correspondant à la troisième croisée bâtarde.
Une troisième campagne semble se dessiner au dessus de la troisième croisée
de la tour d'escalier mais, ici, les réfections de joints récentes rendent
l'analyse incertaine. Les incohérences architecturales se repèrent
essentiellement dans les couronnements. Il est d'usage de considérer que les
tours de flanquement furent dotées initialement de mâchicoulis et que leur
disparition serait due à des réfections modernes. Ceux de la tour
d'escalier, qui paraissent seuls conservés, suscitent quelques doutes quant
à l'époque de mise en place de leur parapet, où de nombreux linteaux en
accolades ont été remployés et où les tous de tir à mire sont identiques à
ceux des échauguettes de l'oratoire. A ces changements repérables dans les
maçonneries correspond une évolution stylistique sensible dans les
percements. Sur la façade principale, une demi-douzaine d'entre eux ont été
refaits à neuf et ne peuvent plus servir de repère. Quatre autres fenêtres
présentent une moulure déjà classique et doivent être attribués au courant
du 16e siècle. Trois d'entre elles ouvrent au rez-de-chaussée et résultent
manifestement de percements tardifs, contemporains de la mise en place, en
condamnant la porte d'origine, de la cheminée de la grande salle basse.
Celle-ci, de style Renaissance, porte les armes d'Aubusson, ce qui incite à
situer ces percements avant 1541. La quatrième, au second étage de la
façade, partie gauche, s'inscrit dans une plage de maçonnerie apparemment
très restaurée mais pourrait néanmoins étalonner la dernière phase
d'édification du logis. Les trous de scellement d'une ancienne grille encore
présents sur certaines des pierres d'encadrement en attestent en effet
l'authenticité. Une demi-croisée de profils encore gothiques, située au
deuxième étage de l'élévation arrière, au revers de la tour nord-est,
pourrait être contemporaine de cette dernière phase de construction.
A la première phase de construction appartient nécessairement la porte
d'entrée de la tour d'escalier. Elle se caractérise par la lourdeur de son
style, ses moulures concentriques en épais tores à listel et ses bases
désolidarisées et alignées. La porte s'inscrit dans un méplat du tracé de la
tour qui a évité au sculpteur de dégager le tympan dans une pierre courbe.
Ce style assez lourd se retrouve dans la première croisée bâtarde de la tour
dont les baguettes constituées d'un épais listel tournent sans se croiser
aux angles du chambranle. Le style de la porte et celui de cette
demi-croisée se conjuguent dans une ancienne croisée bâtarde, conservée au
premier étage du pignon sud et réaménagée en porte lors de l'adjonction de
l'oratoire. La seconde croisée bâtarde de la tour d'escalier, très proche
des précédentes, s'en distingue cependant par quelques détails
significatifs. La moulure est ici torique et plus fine et les bases plus
anguleuses. Au même style se rattache la croisée bâtarde du premier étage de
la travée nord de la façade dont les baguettes toriques à listel sont
affinées et les bases désormais décalées. Celle-ci s'inscrit nettement dans
la seconde campagne d'édification du logis. La fenêtre condamnée sur
l'élévation arrière de la grande salle du deuxième étage offre elle-aussi
une version affinée de celles de la première campagne et doit sans doute
être rattachée à la même phase de construction. La fenêtre du dernier niveau
de la tour d'escalier marque une autre étape dans l'évolution stylistique
des percements. Celle-ci se manifeste dans le croisement des baguettes aux
angles supérieurs des chambranles. Elle pourrait jalonner une phase
intermédiaire de construction, intercalée entre la deuxième campagne et la
réalisation des couronnements de la tour d'escalier. Un tel phasage
placerait la cheminée et les fenêtres Renaissance du rez-de-chaussée dans le
cadre d'une quatrième campagne de construction.
Les adjonctions de la fin du XVIe siècle sont bien repérées, d'une part par
les textes qui les renseignent, d'autre part par les inscriptions qui
jalonnent leur construction. Les écuries, qui portent la date de 1593, se
composent d'un long bâtiment rectangulaire, occupant la totalité du front
nord de l'enceinte, flanqué lui-même de deux tours rondes à mâchicoulis
rendues habitables par la présence de cheminées et de latrines. Les trous de
tir de ces tours, circulaires ou à fente horizontale, dotés ou non d'une
mire, sont conformes à cette datation. Les mâchicoulis des tours, dont les
parapets à accolade délardée sont portés sur des consoles en triple quart de
rond, rappellent ceux de la tour d'escalier du logis. Le pavillon à
échauguettes, qui prolonge le logis médiéval au sud, contient au premier
étage un oratoire dont l'accès a été réaménagé dans une ancienne croisée.
Comme le pavillon de l'oratoire, le second logis, accolé au nord-est, était
couronné d'une ceinture de mâchicoulis dont les parapets furent remplacés
ultérieurement par une balustrade d'agrément.
La chapelle castrale occupe un pavillon de plan carré sur un angle ouvert du
front ouest de l'enceinte. Pour le reste, il semble que l'ensemble de
l'enceinte extérieure qui ceinture le logis soit globalement contemporain
des écuries (1593). Le pont d'accès qui franchit le fossé sud-est,
comportait une partie volante, sans doute un pont-levis. L'époque de la tour
sud-ouest de l'enceinte, de plan circulaire mais accostée d'une tourelle
d'escalier, est plus délicate à évaluer du fait de l'importance des
restaurations qu'elle a subies. On sait qu'elle servit de prison sous
l'ancien régime. A l'angle sud-est, au contact d'une ancienne fontaine, on
peut supposer qu'une tour disparue complétait le système de flanquement de
l'ensemble. Il convient d'admettre cependant qu'elle n'existait déjà plus en
1772. Des vestiges importants de décor peint subsistent aux étages du
logis. Le plus spectaculaire se trouvait dans la tour d'escalier, confirmant
le rôle de "donjon" qui lui était dévolu. On y reconnaît un château attaqué
par des rats et défendu par des chats. Le reste de la tour était orné de
faux appareils tracés en rouge et en gris dont les contours soulignaient les
baies existantes. Les salles du premier étage conservent également quelques
traces de peintures murales : on y reconnaît de faux appareils à bossages,
des inscriptions dans des phylactères ainsi que des imitations de boiseries
à panneaux de serviettes pliées. Peut-être contemporains, les pavages de
terre cuite replacés dans l'une des tours du front nord sont estampillés de
rosaces, et d'écus chargés des fleurs de lis et de lions. Plus récents, deux
panneaux placés dans les embrasures d'une fenêtre du premier étage
représentent des allégories. L'oratoire et la chambre attenante conservent
également des boiseries et plafonds peints à décors héraldiques ainsi que
des monogrammes enchevêtrés (ALV pour Anne de Montbron et Louis de Vaillac)
qui datent apparemment du début du XVIIe siècle. Les salles des trois
niveaux conservent une remarquable série de cheminées chargées de moulures,
dont les clés de linteaux s'ornent de cartouches armoriés finement ciselés.
L'une de ces clés, entreposée dans la cage d'escalier, semble provenir de la
salle principale où la cheminée médiévale manque.
Éléments protégés MH : le château de Vaillac (l'ensemble des bâtiments) :
classement par arrêté du 16 décembre 1958. (1)
château
de Vaillac 46240 Vaillac. Tel. 01 39 51 36 12, il participe à l'opération
patrimoine ouvre toi, visites en juillet et août. Le château de Vaillac est
considéré comme l'un des meilleurs témoins de l'architecture seigneuriale en
Quercy vers la fin du XVe siècle. En dépit de quelques mutilations, l'état
de conservation de l'édifice qui n'a été que peu retouché après le XVIe
siècle paraît en effet remarquable. La présence d'importants vestiges d'un
décor peint du XVe ou du XVIe siècle particulièrement original ajoute encore
à l'intérêt architectural de l'édifice.
Ce site recense tous les châteaux de France, si vous possédez des documents
concernant ce château (architecture, historique, photos) ou si vous
constatez une erreur, contactez nous. Nous remercions chaleureusement
Monsieur Bernard Drarvé pour les photos qu'il nous a adressées afin
d'illustrer cette page.
source
des photos par satellite:
https://www.google.fr/maps
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du Lot" tous les châteaux répertoriés à ce jour dans
ce département. |
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