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Dans le cadre des luttes qui l'opposent au comte
d'Anjou Foulques Nerra, le comte Eudes de Blois, qui tient alors le
Saumurois, fait fortifier vers 990 une petite butte naturelle à l'aplomb de
la Loire, située en avant du coteau, entre Rest et Candes-Saint-Martin. Cela
lui permet de verrouiller, légèrement en aval, la confluence de la Loire et
de la Vienne et d'affermir son contrôle sur les deux cours d'eau. Foulques
Nerra s'en empare dans les mois qui suivent la mort d'Eudes de Blois, en
996, et y installe l'un de ses hommes de confiance, Guillaume, dont les
descendants restent à la tête de ce qui devient l'une des plus précoces
châtellenies angevines, attestée en 1001. Ce lignage seigneurial est connu,
dès le XIe siècle, sous le nom de Montsoreau qui pourrait avoir désigné la
petite butte elle-même si l'on suit l'étymologie latine qui le ferait
dériver de mons, mont, et sorellus, parcelle de petite superficie. Foulques
fait de cette place forte un élément stratégique tant pour la maîtrise du
bassin ligérien que comme point d'appui intérieur d'une profonde ligne de
défense portée jusqu'en nord Poitou, selon un axe nord-sud qui mène à ses
positions fortifiées de Loudun et Mirebeau. Montsoreau est ainsi en pointe
du dispositif militaire des comtes d'Anjou jusqu'à ce qu'ils s'emparent de
Saumur en 1026, puis du Chinonais en 1044. À la fortification de la fin du
Xe siècle succède au même endroit, dès la première moitié du XIe siècle,
l'un des plus imposants châteaux alors construits en Anjou à cette époque et
parmi les tout premiers édifices en moyen appareil, révélé lors de fouilles
archéologiques de son emprise sud-ouest.
Il est isolé par un large et profond fossé que seul franchit, à l'ouest, un
pont protégé d'une tour. Au débouché de ce pont, un espace constitue déjà
une basse-cour où divers bâtiments sont progressivement érigés. Les douves,
plus profondes que ce que l'on peut en voir de nos jours (où des remblais
s'y sont accumulés), sont sèches la majeure partie du temps et les plus
grandes crues n'ont sans doute pour effet que de les curer de temps à autre.
En 1152, Henri II Plantagenêt assiège et prend une première fois le château,
où son frère et rival Geoffroy d'Anjou se réfugiait, puis, après le lui
avoir restitué, il s'empare une seconde fois du site en 1156. Le profond
remaniement du site à la fin du Moyen Âge ne permet de disposer que
d'informations trop ponctuelles encore en élévation et s'il est assuré que
le site est toujours occupé, on ne connaît donc pas les évolutions du
château entre le XIIe et le milieu du XVe siècle. Passé successivement aux
mains de plusieurs maisons féodales après l'extinction de la première
dynastie des Montsoreau, le château appartient dans la première moitié du
XVe siècle à la famille Chabot. Louis II Chabot, endetté, le cède en 1450 à
Jean II de Chambes, époux de sa sœur Jeanne Chabot. Parmi d'autres charges,
ce seigneur, un temps lié à Jacques Cœur, est premier maître d'hôtel et
conseiller du roi Charles VII pour lequel il effectue diverses missions et
ambassades, notamment dans le sud de la France et en Italie. Familier des
demeures de prestige, il s'en inspire sans doute lors de la reconstruction
de son château qui est à ranger parmi les tout premiers châteaux d'agrément
du Val de Loire.
Le corps principal et les deux grosses tours de plan quadrangulaire qui
l'encadrent sont bâtis à partir de 1450, probablement pour disposer au plus
vite de pièces habitables. On conserve deux passeports datés de 1455
accordant franchise pour le transport depuis le Lyonnais du plomb et des
poutres de pin nécessaires à la charpente et à son couvrement. Alors que
l'on en termine les parties hautes, on commence à élever les ailes en retour
d'équerre, espaces davantage liés aux commodités et achevés vers 1462.
L'ensemble adopte un style flamboyant. Sous Jean II Chambes et Jeanne
Chabot, la plupart des éléments de la basse-cour sont aussi transformés:
ajout d'une chapelle nord à l'église castrale, construction d'un ensemble de
dépendances au nord-ouest et reconstruction du corps d'entrée de la
basse-cour. Durant la génération suivante, sous Jean III de Chambes, leur
fils, chambellan du roi ayant pris part aux guerres d'Italie, et sa femme
Marie de Châteaubriant, le site connaît quelques transformations,
incorporant de notables éléments de la première Renaissance et modernisant
la manière d'habiter. Ainsi, autour de 1510-1530, une tourelle polygonale
d'escalier en vis, à palmier sommital, est ajoutée dans l'angle est.
Desservant les appartements seigneuriaux, elle traduit l'évolution de
l'habitat vers un plus grand souci des espaces privatifs. En 1520, selon les
voeux testamentaires de son époux, Marie de Châteaubriant fait achever la
construction et fonde une collégiale, Sainte-Croix, en partie est de la
basse-cour.
En ce début de XVIe siècle, le château de Montsoreau fait suffisamment
impression sur ses contemporains pour que dans son Pantagruel, publié en
1532, Rabelais le fasse offrir par Gargantua à Ithybole, l'un de ses
capitaines vainqueurs de Picrochole. Les guerres de Religion viennent mettre
un terme à ces embellissements. Des troupes protestantes ruinent et pillent
la collégiale Sainte-Croix (1568), mais il semble que le château leur ait
résisté. Engagé dans le parti catholique et connu pour ses massacres en
Anjou, Jean IV de Chambes participe à ces guerres et son zèle est tempéré
par le roi qui le récompense tout de même en érigeant Montsoreau en comté
(1573). En septembre 1587, Henri de Navarre occupe ponctuellement le
château. Si le site conserve un temps une fonction militaire (une troupe
royale y stationne, de 50 arquebusiers, un sergent et un capitaine en 1591,
ramenée à 20 hommes en 1593), l'entretien d'une garnison y est
définitivement interdit par Richelieu dans les premières décennies du XVIIe
siècle. Dès lors, le site castral se fige, d'autant que parallèlement à ces
événements, à partir de la seconde moitié du XVIe siècle, les Chambes
délaissent le château de Montsoreau pour leur résidence plus confortable de
la Coutancière, à Brain-sur-Allonnes. On ne connaît pas la date à laquelle
la partie orientale du site (douves et basse-cour) est transformée, mais
c'est peut-être après ces épisodes guerriers, avec construction d'un mur de
soutènement, remblais et création de jardins discernables sur la vue de 1699
de la collection de François-Roger de Gaignières. L'ancienne collégiale et
ses abords restent en effet aux mains des chanoines qui y aménagent divers
bâtiments, habitations et dépendances, dont certaines à même les ruines de
l'église dont le souvenir s'efface sous ces constructions.
La maison de Chambes perd progressivement de son prestige. La suppression du
droit de péage sur la Loire par ordonnance du 20 novembre 1631 prive la
seigneurie de Montsoreau d'une importante source de revenus. René de Chambes,
faux-monnayeur et faux-saunier, condamné à mort en 1634, meurt en exil en
Angleterre en 1649, ses héritiers s'endettent et Montsoreau passe par
alliance à la maison du Bouchet de Sourches. Ceux-ci en conservent le titre
comtal, mais n'y résident pas et renâclent dès lors aux dépenses de son
entretien. Habité par un régisseur qui ne cesse de se plaindre de son état,
le bâtiment voit ses espaces intérieurs être cloisonnés, avec même des
niveaux de plancher intermédiaires. Il n'offre, à la fin du XVIIIe siècle,
plus rien de comparable avec la résidence d'agrément des Chambes. À
l'exception de la chapelle castrale, saisie et vendue comme bien national,
le château traverse sans plus d'encombres la période révolutionnaire jusqu'à
ce que Charles du Bouchet de Sourches-Tourzel décide, en 1804, de le vendre
aux enchères avec ses dépendances. Le château constitue l'un des lots, mais
il passe rapidement aux mains de plusieurs acquéreurs qui en organisent le
partage entre eux, les uns comme logement ou atelier, les autres afin d'en
utiliser les vastes caves. Certains organes défensifs sont détruits, sans
doute après cette vente, au tout début du XIXe siècle (courtines, tour
sud-est, châtelet du pont-levis), certainement pour en récupérer des
matériaux de construction; les démolitions sont arrêtées alors que les deux
pavillons latéraux sont déjà attaqués.
Plusieurs fois revendu et fractionné, le château se dégrade davantage encore
au cours du siècle qui suit. Certaines salles ainsi subdivisées deviennent
de petites habitations, d'autres des ateliers ou entrepôts. Les
propriétaires ne peuvent faire face aux réparations nécessaires dans un
château qui souffrait déjà d'un manque d'entretien. Une partie de la toiture
s'effondre en 1840, des débris encombrent la cour où de nouveaux bâtiments,
modestes, sont édifiés. La réalisation de la route de Loire en 1829-1833
sépare le château des eaux de la Loire et s'accompagne de la construction de
plusieurs maisons dans les anciennes douves, à l'alignement de cette
nouvelle chaussée. Des bâtiments sont aussi construits dans l'ancienne
enceinte de la basse-cour. À la suite de Jean-François Bodin qui dès 1812
évoque l'importance du site, les sociétés savantes locales s'y intéressent,
multiplient les visites au château, vantent le pittoresque du site et
s'émeuvent de son état. Les gravures qui représentent le château se
multiplient et accentuent davantage encore son allure de ruine romantique.
Alexandre Dumas contribue à lui conférer une renommée nationale en publiant
La Dame de Monsoreau en 1842. Le château de Montsoreau est classé parmi les
Monuments historiques en 1862. Des relevés du bâtiment, alors en état avancé
de dégradation, sont réalisés en 1886-1888 par l'architecte René Salleron
(1859-1942) et de premiers projets de restauration sont proposés (notamment
en 1892).
De 1914 à 1919, le château sert de cantonnement militaire, ce qui occasionne
de nouvelles dégradations (huisseries et planchers utilisés comme bois de
chauffe). En 1919, le Conseil départemental de Maine-et-Loire et l'État
décident d'en financer les restaurations: les travaux sont lancés peu après,
sous l'enthousiaste impulsion du conseiller général nouvellement élu dans le
canton voisin de Doué-la-Fontaine, Jean de Geoffre de Chabrignac
(1889-1971), chargé au sein du Conseil général d'être rapporteur aux
Monuments historiques du département, et de l'architecte en chef des
Monuments historiques Jean Hardion (1858-1932). Les premiers travaux sont
d'abord la destruction d'éléments qui s'étaient greffés sur le site et des
consolidations, puis les restaurations débutent, commençant par les
couvrements et parties hautes. Ils usent parfois de techniques originales:
charpente, planchers et poutraisons en béton armé ponctuellement peints en
imitation bois. Ralenti par la mort de Hardion (successeurs: Maurice Lotte
et Ernest Bricard) et interrompu par le conflit, le chantier est repris
après la Seconde Guerre mondiale (architectes: Bernard Vitry et Henri
Enguehard). Le marquis de Geoffre en reste le conservateur, rêvant
continuellement d'une restitution complète des bâtiments, imaginant sous
forme de dessins et peintures ce que pouvaient être le château et le bourg
dans la période qu'il retient comme apogée du site, vers 1450-1550, soit
entre l'arrivée des Chambes et les guerres de religion. Le château ouvre au
public et ses salles accueillent un temps le musée des Goums marocains
(1957-1997), inauguré par le maréchal Juin le 17 juin 1957. Le château
connaît ensuite une nouvelle campagne de restauration en 1999-2001.
Le château fort autour duquel s'est constitué le bourg de Montsoreau s'élève
à la frontière de l'Anjou et de la Touraine sur une petite butte qui domine
la Loire et permet d'en contrôler la vallée, à moins d'un kilomètre en aval
de sa confluence avec la Vienne. De profonds fossés (en partie comblés de
nos jours) ont été creusés à l'est, au sud et à l'ouest autour de ce petit
relief rocheux dont la partie sommitale a été aménagée pour constituer une
plateforme; au nord, le château était à l'aplomb de la Loire avant d'en être
séparé lors de la construction de la route sur berges, en 1829-1833. Ces
douves accueillent, creusée en partie sud, dans le mur de contrescarpe (sous
les anciennes halles, actuel jeu de boule de fort), une profonde cave
couverte d'une voûte en berceau brisé à doubleaux: elle devait servir de
lieu de stockage, étant située à proximité du petit port d'échouage du
château que devait constituer en bord de Loire la partie occidentale des
douves, mais à un niveau suffisamment élevé, en partie sud du fossé, pour
échapper aux inondations. Ce petit port et cette cave sont sans doute à
associer au droit de péage que percevaient sur le trafic fluvial les
seigneurs de Montsoreau jusqu'en 1631 et dont les pancartes indiquaient des
prélèvements en nature sur les cargaisons. Au-delà des douves se trouvait la
basse-cour, scindée en deux parties et autrefois ceinte de murs. À l'ouest,
reliée au château par un pont-levis, l'issue principale était entouré de
l'église castrale et de dépendances seigneuriales dont la nature pu changer
au fil du temps, mais où sont mentionnés une salle de justice, un grenier à
sel et espaces de stockage, des écuries, des logements secondaires (dont
celui du sénéchal), etc.; là encore, des éléments de cette partie de la
basse-cour étaient associés au petit port d'échouage des douves ouest. On ne
connaît pas la nature du lien qui peut avoir existé entre le château et la
partie orientale de la basse-cour où fut élevée au XVIe siècle la collégiale
Sainte-Croix, entourée d'un petit cimetière ; rien de tangible ne vient
étayer l'hypothèse qui a pu être formulée d'une passerelle franchissant ici
les douves.
Si elle demeure lisible, cette emprise ancienne de la basse-cour aux abords
du château est désormais un peu moins évidente par endroit, du fait des
destructions ou remaniements de quelques uns de ces éléments, de la
réalisation de la route de Loire et de la construction de plusieurs maisons
au XIXe siècle sur les parcelles issues du démembrement du site castral. Le
château des Chambes, du milieu du XVe siècle, occupe la partie nord de la
plateforme rocheuse isolée par les douves et que bordait la Loire. Cette
plateforme est elle-même ceinte de courtines et bordée d'autres éléments à
usage de dépendances ou défensifs, dont on ne distingue aujourd'hui que des
vestiges (bases de la tour sud-est et du châtelet ouest, terrasse
d'artillerie au sud) ; en partie centrale elle comprend encore la cour où se
trouvait un puits (à l'est du puits actuel). Édifice imposant qui domine le
paysage, avec chemins de ronde, mâchicoulis, douves et pont-levis, le
château, entièrement en moyen appareil de tuffeau, conserve l'allure d'une
forteresse médiévale. Il est pourtant à ranger parmi les tout premiers
châteaux d'agrément du Val de Loire, élevé à l'aplomb même du fleuve où il
se reflète admirablement. Le château est conçu comme logis de Jean II de
Chambes et compte de nombreux communs et espaces annexes. Le corps principal
est composé d'un sous-sol, d'un rez-de-chaussée, de deux étages-carrés et
d'un comble avec toit à longs pans. Les grosses tours quadrangulaires qui le
flanquent à l'est et à l'ouest reprennent cette organisation, avec un
étage-carré supplémentaire; le comble et le toit en pavillon attestés par
l'iconographie ancienne ont disparu.
L'aile en retour d'équerre qui flanque la tour est dispose d'une élévation
similaire à celle du logis, mais est moins haute, ce qui induit un
progressif décalage des niveaux de sol. Les deux ailes qui, au sud et à
l'ouest, flanquent la tour occidentale nous sont parvenues en moins bon état
de conservation: s'il est possible qu'elles aient été plus hautes de
quelques assises, il semble qu'elles furent dès l'origine couvertes d'un
toit en appentis, ce qui témoigne peut-être d'un état d'inachèvement de ce
secteur du château. Chaque étage est organisé selon une distribution en
enfilade avec un principe général qui mène des espaces publics vers les
espaces privés, jusqu'aux plus intimes, dont le grand nombre de latrines qui
équipaient le château. Au premier étage, la grande salle de réception ouvre
ainsi à l'est, sur les appartements de Jean II de Chambes, avec une chambre
de parement semi-publique où le seigneur reçoit, puis une chambre de retrait
dotée d'une cheminée monumentale, une garde-robe, une étude et des latrines.
La distribution est identique au second étage-carré pour les appartements de
Jeanne Chabot, épouse du seigneur de Montsoreau. À l'origine, la
distribution verticale semble n'avoir été assurée que par l'escalier en vis
de la tourelle polygonale dans l'angle ouest et un étroit escalier de
desserte dans la maçonnerie de l'angle nord-est. Les espaces de réception
sont très vastes et le château superpose trois salles de plus de 130 mètres
carrés, chacune chauffée par deux cheminées. Jean II de Chambes fait ici
primer la fonction résidentielle sur le rôle défensif, ce qui se mesure
nettement aux nombreuses croisées qui percent largement les murs et font
partout entrer la lumière, multiplient les vues sur la Loire ou sur le
bourg, au détriment de l'aspect fortifié.
Plus encore, la conception du chemin de ronde à l'étage des appartements de
la dame le rend peu opérationnel: l'accès aux mâchicoulis, créneaux et
organes de tir se fait en un cheminement constamment barré de portes et
interrompu par les baies des hautes lucarnes qui éclairent cet étage et le
comble. Le décor se compose d'ornements de style flamboyan: baies couvertes
d'une accolade, pinacles, amortissements et rampants des pignons et des
tympans des lucarnes à crochets gothiques. Ces éléments procèdent pour
beaucoup des restaurations du XXe siècle, mais ces restitutions sont étayées
par quelques vestiges et des vues anciennes. Autour de 1515-1530, une
tourelle polygonale d'escalier en vis, à palmier sommital, est ajoutée dans
l'angle est. Desservant les appartements seigneuriaux, elle traduit
l'évolution de l'habitat vers un plus grand souci des espaces privatifs.
Coiffée d'une étonnante terrasse où deux rangs de disques d'ardoise sont
sertis dans le garde-corps, cette tourelle présente un décor foisonnant sur
toute la hauteur de sa face principale, ajourée de baies traitées à la
manière de loggias. L'ornementation relève des premières manifestations de
l'art de la Renaissance en val de Loire et mêle ici des éléments italiens
(candélabres, moulurations antiquisantes, disques d'ardoise, profil de
médaille, putti et angelots) et d'autres issus de la tradition médiévale.
Ceux-ci se concentrent surtout sur les panneaux à décor symbolique ou
héraldique: le cerf en son hallier, les phylactères avec cri d'armes et
devise des Chambes "Je le feray" ou encore la saynète qui figure trois
singes, dont l'un semble précisément relever ce défi en soulevant un poids à
l'aide d'un engin de levage. (1)
Éléments protégés MH : le château : classement par liste de 1862. La
chapelle (restes) : inscription par arrêté du 3 décembre 1930. Le palais de
la Sénéchaussée compris dans l'ancienne enceinte du château : inscription
par arrêté du 6 octobre 1938.
château de Montsoreau, 3 passage du Marquis de Geoffre, 49730 Montsoreau, tel.
02 41 67 12 60, ouvert au public du 01-03 au 31-03 samedi et dimanche de 14h
à 18h, du 01-04 au 30-04 tous les jours de 14h à 18h, du 01-05 au 30-09 tous
les jours de 10h à 19h, du 01-10 au 15-11 tous les jours de 14h à 18h.
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