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Château de Pau (Pyrénées-Atlantiques)
 
 

           Le château de Pau (Castellum Pali) ainsi nommé de trois pieux qui servirent à marquer le lieu où il devait être bâti, eut, pour fondateur, vers l'an 982, Gentule-le-Vieux, dont les successeurs continuèrent la partie méridionale, qui ne fut entièrement achevée que par Gaston Phébus qui, dans l'intention d'en faire sa résidence, fit terminer également la grande tour carrée qui porte aujourd'hui son nom, les remparts et parapets des jardins et la tour du moulin. Cette tour, bâtie sur le canal dont les eaux baignent le pied du talus méridional du château, donnait accès sur la place de la Basse-Ville, autrefois dite: Champ de bataille; tous les différends entre deux ou plusieurs habita,ts s'y vidaient les armes à la main, ce qu'on appelait alors combats judiciaires. Vers 1460 , Gaston X, désireux d'avoir une résidence vraiment royale au milieu de son peuple Béarnais, fit construire les parties Nord et Est de l'édifice, créa le Parc et décida que les Etats de Béam se rassembleraient toujours dans les salles du château. Mais en 1527, la Marguerite des Marguerites, cette soeur si chère à François 1er, devenue reine de Navarre par son mariage avec Henri II, ajouta au vieux castel un cachet de distinction qui en fit un véritable palais de la Renaissance, en le restaurant de fond en comble et métamorphosant l'ameublement de ses appartements. Abandonné plus tard par Henri IV devenu roi de France, dépouillé de tout ce qu'il possédait de plus précieux par lui et par Louis XIII, entièrement négligé par leurs successeurs , le château tomba bientôt dans les mains de gouverneurs, puis dans celles de Républicains qui, non contents de vendre à vil prix, et lambeau par lambeau, les terres du domaine royal, convertirent en caserne et en écuries le Palais qui fut jadis le berceau du grand Roi. Ce n'est que sous le règne si court de Louis XVIII, qu'on pensa à relever les ruines, travaux bientôt négligés et abandonnés.
Mais la restauration futrecommencée en 1838, sous Louis-Philippe qui, en outre, ordonna l'ameublement complet des appartements a peu près tel qu'il existe encore aujourd'hui. Enfin, Napoléon III monte sur le trône. Son premier soin est de relever toute gloire déchue, qu'elle rappelle les souvenirs de la Royauté ou ceux de l'Empire. Par ses ordres souverains, le Château, qui était à la veille d'être abandonné à l'Etat, fait partie des domaines de la Couronne. De ce moment commence pour lui une ère de résurrection complète et de transformation magnifique qui a marché et qui marche encore d'un pas rapide sous l'habile direction de MM. Couvrechef, Anceletet Lafollye, architectes successivement choisis par l'Empereur. La jolie façade qui existe aujourd'hui, la propreté qui règne actuellement sur la partie des bâtiments qui entoure la cour d'honneur, les jolies fenêtres ouvertes à la chapelle, les sculptures des portes et fenêtres nouvellement restaurées, les travaux qui se font et vont incessamment compléter la partie méridionale, tout dénote, en un mot, beaucoup d'entente et surtout le désir bien grand de notre Souverain de ne rien négliger pour la conservation et l'embellissement même de l'un des monuments les plus précieux pour l'histoire. Après la lecture de ce qui précède, on nous demandera peut-être pourquoi les lettres G-P toutes brillantes d'or et qui veulent dire: Gaston-Phoebus, ont été placées sur la partie du nord, laquelle n'a été construite qu'après ce Souverain. Nous ferons au visiteur trop curieux la réponse qu'on nous a déjà faite à nous-mème: puisque ces lettres y sont, il faut qu'elles y restent, tenons-nous le donc pour dit.
Les principaux évènements qui se sont déroulés au château de Pau: en 1O86, Gaston III, qui, avant de partir pour les Croisades, est armé chevalier dans la salle d'armes du rez-de-chaussée du midi du château. Trois ans après, il décore les appartements des trophées enlevés par lui en Terre-Sainte. En 1100, il reçoit au château la visite du Roi Alphonse 1er d'Aragon. En 1215, la Cour majour, présidée par le seigneur du Béarn, siège au château pour y faire justice. En 1290 élection de Marguerite, comtesse de Foix, par les Etats de Béarn et de Bigorre réunis au château, qui décident, en 1291, dans une nouvelle assemblée, la réunion du Béarn avec le comté de Foix. En 1378 Gaston-Phoebus passe, avec divers maçons et cagots, un contrat relatif à la reconstruction du château. En 1436, Gaston X, devenu roi de Navarre, choisit le château pour sa résidence habituelle, et y fait construire en conséquence. En 1455 il signe, dans la chapelle, en présence des Étals réunis, un acte, en date du 20 janvier, qui lui interdit toute augmentation d'impôt sans leur consentement. En 1463 il reçoit Louis XI et sa cour. En mars 1479, les États s'assemblent au château pour élire le jeune prince François Phoebus, Quelques jours après, une ambassade lui apporte la couronne de Navarre, qu'il reçoit en présence de ses chevaliers et de six gentilshommes Français réunis au château. En novembre 1482, en présence des États réunis dans la grande salle du premier étage du midi, le roi François jure, sur l'Evangile, de conserver intacts les forts du Béarn. Le 23 Janvier 1483, il meurt au château, à l'âge de 16 ans, empoisonné en portant sa flûte à ses lèvres. Le 14 février 1483, Catherine, sa soeur, jure serment aux États de Béarn assemblés au château. Le 16 idem, les mêmes États, dans une nouvelle réunion, décident que leur souveraine est d'âge à contracter mariage.
Le 15 novembre 1491, en présence de la même assemblée, Jean d'Albret, époux de Catherine de Navarre, prête serment. Le 13 décembre 1553, naissance de Henri IV au château. Son baptême a lieu le 6 mars suivant dans la chapelle. Le 18 août 1555 Antoine de Bourbon et Jeanne d'Albret réunissent leurs États dans la grande salle du château, et, la main sur l'Evangile, jurent de conserver intacts les forts du Béarn. le 19 novembre 1559, visite d'Isa-belle de France qui va en Espagne épouser Philippe II. Le 1er décembre 1568 le brave baron d'Arros annonce à la noblesse, assemblée au château, l'intention de Charles IX, roi de France, d'envahir le Béarn. L'Assemblée pousse le cri de guerre, et accorde une levée de 15.000 écus. Le 15 avril 1569, Terride, par ordre de Charles IX, s'empare de la ville de Pau, puis commence le siège du château dont la garnison, reléguée dans la tour Montauzet, résiste avec bravoure et ne se rend qu'après avoir obtenu une capitulation honorable. Le 24 août 1569, un an, jour par jour, avant la Saint-Barthélemy, Montgomery, lieutenant de Jeanne d'Albret, fait poignarder dans la grande salle du Midi du château, au moment où ils prenaient leur repas, dix nobles catholiques faits prisonniers de guerre. Le 4 janvier 1577, Catherine, soeur d'Henri IV, est nommée régente de la Navarre et du Béarn. Le 2 avril 1581, Henri IV, en présence des États réunis au château, prête serment. Le 13 janvier 1586, les séances judiciaires se tiendront désormais au Palais de Justice, bâti à cet effet près du château. Le 10 octobre 1592, Madame Catherine, rappelée par Henri IV, qui a appris ses amours avec le comte de Soissons, quitte le Béarn, à la douleur générale. Le 15 octobre 1620 Louis XIII vient habiter le château; le 19, il prête serment aux États de Béarn, assemblés dans la salle du rez-de-chaussée du Midi, et prononce la réunion du Béarn à la France.
Le 1er mai 1793, le château est envahi et dépouillé de ses Archives, de ses tableaux et d'une coquille qu'on croit être le berceau d'Henri IV. Le 30 mai 1814, le berceau d'Henri IV, qui avait été sauvé du pillage de 93 par un sieur Lamaignêre, gardien du château, et était demeuré caché chez un menuisier nommé Saffores, est rendu au château. Le 21 juillet 1814, visite au château du duc d'Angoulême. Le 29 septembre 1819, visite de la princesse Marie-Amélie de Saxe, allant en Espagne épouser Ferdinand VII. Le 29 mars 1823, nouvelle visite du duc d'Angoulême se rendant à l'armée d'Espagne. Le28 juin 1824, Madame la duchesse de Berry visite le château. Le 9 juillet 1839, visite du duc et de la duchesse d'Angoulême. Le 9 juillet 1839, visite du duc de Nemours se rendant à Eaux-Bonnes. Le 30 août 1839, visite du duc et de la duchesse d'Orléans. Le 27 août 1843, le duc de Montpensier, à l'occasion de l'inauguration de la statue d'Henri IV sur la place de la ville, vient habiter le château et y donne une fête splendide. Le 22 août 1846, le duc et la duchesse de Montpensier, venant de se marier en Espagne, viennent habiter le château. Le 28 avril 1848, Ab-el-Kader, sa mère, une femme légitime, 5 concubines, 7 enfants, un oncle, 3 frères et sa suite, en tout 80 personnes, sont internés au château, qu'ils quittent, le 2 novembre 1848, pour se rendre à Amboise. Le 21 août 1854, l'Empereur Napoléon III vient à Pau et habite le château. Le 20 Juin 1855, l'impératrice Eugénie, se rendant à Eaux-Bonnes, visite le château. Le 11 décembre 1856, le duc d'Hamilton, son épouse Son Altesse Royale la princesse Marie de Bade et leurs enfants, habitent le château jusqu'au 21 avril 1857. Le 21août 1861, l'Impératrice Eugénie, se rendant des Eaux-Bonnes à Biarritz, donne au château un dîner de 28 couverts, et reçoit, avant de partir, toutes les autorités de la ville et les membres du Conseil général.
Le 26 septembre 1863, l'Empereur Napoléon III, venant de Tarbes et se rendant à Biarritz, déjeune dans le salon d'attente du premier étage du Midi. Sa Majesté visite ensuite les travaux de restauration, et repart trois heures après son arrivée. Le 11 septembre 1887, la princesse Clotilde Napoléon, accompagnée d'une dame d'honneur et d'un chambellan, visite le Château. Le 5 septembre 1868, les deux jeunes fils du prince Napoléon, conduits par une gouvernante et un valet de pied, visitent les grands appartements du château. Le 16 Septembre 1868, à 10 heures du soir, l'Empereur, rentrant du camp de Lannemezan, et accompagné d'un aide de camp, d'un officier d'ordonnance et d'un écuyer, vient coucher au château. Les divers services de S. M. se composent de 35 personnes. Le Lendemain, à 9 heures du matin, il y a, dans la grande salle à manger du rez-de-chaussée du midi, disposée à cet effet, réception générale des. autorités et fonctionnaires de la ville. A 11 heures et demi, l'Empereur déjeune dans la salle d'attente du premier étage du midi. La table est de 14 couverts. Il quitte le château, à 4 heures du soir, pour rentrer à Biarritz. Le 30 septembre 1868, par suite d'une offre pleine de courtoisie et de noble générosité de l'Empereur, la Cour d'Espagne, condamnée à l'exil par une révolution subite et victorieuse, vient habiter le château. La Reine Isabelle II et le Roi-époux occupent, au premier étage du midi, l'une l'appartement de l'Empereur, l'autre celui de l'Impératrice; au deuxième étage sot logés le Prince des Asturies et les trois jeunes Infantes, ainsi que l'Infant don Sébastien.
Description du château de Pau:
Du côté de la ville, on entre au château par un pont en briques et pierres construit sous le règne de Louis XV, pour remplacer le pont-levis qui existait jadis sur l'emplacement de la chapelle actuelle. Arrivé sur ce pont, le visiteur doit s'y arrêter, car il a plusieurs remarques à y faire: A sa droite et à sa gauche, un fossé qui, défendait autrefois l'entrée du Château et dont on a fait une belle allée plantée d'arbres et couverte de parterres. Deux bâtiments s'appuyant sur le parapet de la rue dite du Château, l'un dit des remises, l'autre des écuries; et dont les pièces du haut sont occupées par les ménages des agents subalternes. A gauche, la chapelle qui jdatc de 1840 et dont les dessus de la porte et des fenêtres sont magnifiquement sculptés. En face, le beau portique à trois arcades, construit dans le style de la Renaissance, couvert d'une terrasse avec balustrade sculptée et qui sert d'entrée principale, en s'appuyant sur la tour carrée et le bâtiment neuf qui complètent la façade du château. Commencé en 1859, pour remplacer un ignoble et froid bâtiment qui rendait obscur et triste l'intérieur du castel au point de le faire ressembler à une citadelle, ce beau travail a été entièrement achevé en 1864, sous la direction de M. l'architecte Ancelet. A gauche et sous le portique, demeure le portier: à droite, dans le bâtiment neuf, sont: au rez-de-chaussée, les bureaux de la régie et du service des bâtiments; au premier étage, l'appartement du commandant militaire; au deuxième étage, celui du régisseur; au troisième enfin, la lingerie et le logement de la lingère. Avant d'aller plus loin, nous ferons remarquer qu'il est question de reconstruire le pont vis-à-vis l'arcade du milieu du portique, ce qui ne pourra être mis à exécution quand les maisons qui cachent la façade du château seront démolies. Le visiteur qui s'arrête sous le portique peut admirer deux médaillons incrustés dans la pierre, l'un, au-dessus de la loge du portier, représentant Henri II de Navarre; l'autre, au-dessus de la porte des bureaux, Marguerite, son épouse.
La cour d'honneur mérite de fixer l'attention par sa forme originale, par les sculptures richement gravées au-dessus et dans l'encadrement des portes et fenêtres, par les médaillons qui représentent des figures qu'on pourrait croire à tort celles de souverains et princes Béarnais, et enfin par la statue du dieu Mars nichée sur le fronton qui domine la partie du fond qui fait face à l'entrée principale. Au reste, si les murs qui entourent cette cour pouvaient parler, ils diraient combien de fois le peuple Béarnais, tantôt enthousiaste, et tantôt frémissant du désir de la vengeance, s'y réunit pour offrir ses hommages de respect à ses princes, ou les rappeler aux devoirs de leur souveraineté. A gauche, en entrant, la tour Gaston-Phébus. A droite, la tour neuve et la tour Monlauzet. Au fond, au nord-ouest, la tour Billère. Idem au sud-ouest, les deux tours Mazères. Tour Gaston-Phébus ou donjon: achevée par Gaston-Phébus, cette tour se nommait jadis Tour de tuiles, parce qu'elle est bâtie presque uniquement en briques. Elle a de 34 à 35 mètres de hauteur. Elle possédait, comme les autres, une couverture en ardoises qui a été enlevée par un ouragan épouvantable, en 1820. Dans la partie qui fait face à l'église de St-Martin était un balcon saillant où se plaçait le Président des États du Béarn pour proclamer le nom de chaque souverain nouvellement élu. Plusieurs personnages illustres ont habité les étages supérieurs de cette tour. Nous citerons, entr'autres Clément Marot, le protégé et l'adorateur malheureux de là reine Marguerite, puis Mlle de Scudéry, qui y passa tout l'été de 163. Sous le règne de Louis XIV, la tour Gaston-Phébus fut convertie en prison d'État, ce qui dura jusqu'à 1822. Elle est aujourd'hui richement meublée du premier au quatrième étage, tandis que le rez-de-chaussée, dont l'entrée se trouve sur le petit perron qui fait face au midi, a été converti en corps de garde. Le cinquième étage est une terrasse ou plate-forme d'où la vue jouit de l'un des plus beaux panoramas du monde.
Naguère, pour monter dans cette tour, on était dans l'obligation de prendre l'escalier d'honneur jusqu'au deuxième étage du midi, ce qui était un grave inconvénient pour le service. Aujourd'hui, par suite d'instances motivées du Régisseur, l'escalier de la tour descend jusque dans la cour d'honneur, ce qu'indique une porte nouvellement pratiquée, et dont le style, à notre grand regret, nous semble peu d'accord avec celui des autres entrées du château. La tour Neuve, dite tour Napoléon III n'a rien de saillant; du rez-de-chaussée au quatrième étage, elle fait partie des appartements du bâtiment neuf. La tour Montauzet: en patois Béarnais, Montauzet veut dire monte oiseau. Elle fut donc ainsi nommée parce que les oiseaux seuls pouvaient y monter. En effet, l'histoire nous apprend qu'elle n'avait pas d'escalier et que la garnison, en cas de siège, y montait avec des échelles qu'on retirait après soi. La tour Montauzet avait jadis son puits à oubliettes. C'est dans ce terrible puits qu'on renfermait les criminels. Une statue en fer, armée de poignards acérés, les recevait, dit-on, et par un moyen ingénieux que la légende n'explique pas, les faisait mourir dans des tortures indicibles. Henri d'Albret, fit murer l'entrée de ces affreuses oubliettes qui furent mises dans l'oubli jusqu'au règne de Louis XV. A celte époque, on fit des recherches dans les souterrains, et on y trouva des ossements et des chaînes en fer scellées dans les murs. Si elle a eu ses infamies, elle a eu aussi sa part de gloire, ne fut-ce que la défense héroïque de sa garnison assiégée par Terride. Le rez-de-chaussée de la tour Montauzet sert de remise aux pompes à incendie du Palais. En 1867, on y a établi une borne fontaine d'eau potable dont le château avait toujours été dépourvu. Les trois étages au-dessus s'ouvrent sur les appartements du nord et sont des chambres de service qu'occupent ordinairement les domestiques des grands dignitaires de la couronne. Les trois tours Billère et Mazôres, ainsi nommées parce qu'elles font face aux villages de Billère et de Mazères , n'ont rien qui puisse nous intéresser, si ce n'est que l'une d'elles, celle du milieu, a été bâtie sous le règne de Louis-Philippe. Il en est une autre, détachée du château, mais qui n'en avait pas moins d'importance, c'est celle dite de la Monnaie, qui existe au bas du rempart méridional des jardins, et qui, placée en sentinelle avancée, devait défendre les approches d'un ennemi venant des Pyrénées. lle tombe en ruine, mais nous espérons qu'une heure de résurrection sonnera également pour elle, et qu'on en fera comme de ses soeurs privilégiées, non pas des appartements de princes, mais simplement des logements de serviteurs. (1)

Éléments protégés MH : le château : classement par liste de 1840. Les talus, les terrasses, la première enceinte, le corps de garde, les portes, les fossés ; le pont XVIIIe siècle reliant le château à la ville, le pont Corisande, le pont de Nemours, la passerelle reliant la Basse-Plante au parc ; le jardin dit de la Basse-Plante ; les murs de clôture et les portails ; l'ensemble du parc et le corps de garde du pont Corisande ; le fossé entourant l'enceinte ; l'allée qui parcourt ce fossé ; le pont XVIIIe siècle reliant le château à la ville ; le jardin dit de la Basse-Plante ; le parc : classement par arrêté du 4 octobre 2004. (2)

château de Pau 64000 Pau, tél. 05 59 82 38 02, ouvert au public tous les jours de la semaine, du lundi au dimanche, du 16 septembre au 14 juin: 9h 30 à 11h 45 et 14h à 17h du 1er juillet au 31 août : de 9h 30 à 12h 30 et de 13h 30 à 17h 45 du 1er septembre au 15 septembre : de 9h 30 à 12h 30 et de 13h 30 à 17h 45.

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(1)    Notice Historique sur le château de Pau par Théodore Chastang, Imprimerie et Lithographie É. Vignancour, Pau, 1869.
(2)    source :  https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/

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